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Correspondance 1947-1968 (Broché)

  • Gallimard

  • Paru le : 29/10/2009
Avec près de trois cents lettres, cartes et billets échangés entre 1947 et 1968, la correspondance entre André Pieyre de Mandiargues et Jean Paulhan... > Lire la suite
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Avec près de trois cents lettres, cartes et billets échangés entre 1947 et 1968, la correspondance entre André Pieyre de Mandiargues et Jean Paulhan reflète l'actualité du monde des lettres de l'après-guerre et les débats intellectuels qui l'animent, principalement autour de la réapparition de La NRF que Jean Paulhan codirige à partir de 1953, et à laquelle André Pieyre de Mandiargues contribuera à la rubrique " Le Temps, comme il passe ". Il y publiera de nombreuses critiques et y donnera en avant-première plusieurs de ses oeuvres. Tant d'écrivains importants font en effet partie du monde de Jean Paulhan... Ecrivains qu'il a lui-même promus, grâce à sa place stratégique au sein de La Nouvelle Revue française, ou avec qui il entretenait de profondes affinités intellectuelles. Depuis leur première rencontre en 1946, André Pieyre de Mandiargues fait partie de ce cercle amical, poétique et artistique. Et c'est le point de départ de leur conversation épistolaire. Au fil de ces lettres, érudites ou bouleversantes, la personnalité des deux interlocuteurs se révèle dans toute la saveur de sa subtilité et de son ironie. Tous les deux partagent en effet un même goût pour l'insolite, les incongruités, le plaisir de voir... André Pieyre de Mandiargues et Jean Paulhan - Mandiargues appelle celui-ci le " playboy de l'art moderne " - aiment les artistes et en particulier les peintres. Leur écriture est souvent au service de l'image et de ses créateurs dont les noms - Braque, Dubuffet, de Pisis - apparaissent dans bien des lettres. Tant de connivence, par-delà la différence de génération, fait naître une affection et une intimité qui donnent à cette correspondance une chaleur surprenante et, pour le lecteur d'aujourd'hui, extrêmement touchante. Édition établie, annotée et préfacée par Éric Dussert et Iwona Tokarska-Castant.
  • Date de parution : 29/10/2009
  • Editeur : Gallimard
  • Collection : Les cahiers de la NRF
  • ISBN : 978-2-07-075924-8
  • EAN : 9782070759248
  • Présentation : Broché
  • Nb. de pages : 441 pages
  • Poids : 0.586 Kg
  • Dimensions : 14,1 cm × 20,5 cm × 2,9 cm
Avec près de trois cents lettres, cartes et billets échangés entre 1947 et 1968, la correspondance entre André Pieyre de Mandiargues et Jean Paulhan reflète l'actualité du monde des lettres de l'après-guerre et les débats intellectuels qui l'animent, principalement autour de la réapparition de La NRF.
Né à Paris le 14 mars 1909, André Pieyre de Mandiargues entreprend une licence de lettres, puis l'abandonne. Il s'intéresse à la civilisation étrusque, visite l'Europe et l'Orient méditerranéen et commence à écrire, sans parler à personne de cette activité. Pendant la guerre, il se retire à Monaco où il publie, en 1943, Dans les années sordides. Il rentre à Paris en 1945. Malgré ses affinités avec le groupe surréaliste, il ne participe à ses activités qu'après sa rencontre avec André Breton, en 1947.
Passionné de peinture, il écrit des essais sur l'art, ancien et moderne. Poète, romancier, auteur dramatique, essayiste, André Pieyre de Mandiargues a reçu le prix Goncourt en 1967. Il est décédé en 1991.
André Pieyre de Mandiargues et Jean Paulhan - Correspondance 1947-1968.
Correspondance 1947-1968
35,50 €
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