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"Vieux, un Grec ne peut pas l'être" proclame Platon dans le Timée. Que pouvait bien entendre par là le philosophe grec du IVe siècle avant notre ère ? Plus généralement, comment la société antique pensait-elle le vieillissement ? En particulier, comment les médecins ont-ils essayé d'expliquer ce phénomène et même d'y remédier ? Le vieillissement résultait-il d'une maladie et à ce titre était-il susceptible d'être ralenti, voire aboli, ou au contraire relevait-il d'un processus aussi naturel qu'inéluctable ? Quelle importance Grecs et Romains accordaient-ils à l'environnement, au milieu social, à l'activité professionnelle et à l'hygiène de vie ? Hommes et femmes étaient-ils égaux face à la vieillesse ? Telles sont, bien avant les mirages alimentés par un transhumanisme triomphant, les principales questions abordées ici en dix courts chapitres suivis de la première traduction française du livre V du traité Sur la santé composé au IIe siècle de notre ère par le plus grand médecin de son temps, Galien de Pergame.
Véronique Boudon-Millot aborde en dix courts chapitres les questions qui agitaient les grecs et les romains au sujet de l'acte de vieillir. Quelles étaient leurs conceptions de cet "âge de la vie" ? Un petit ouvrage passionnant, qui remet les pendules à l'heure, alors que les controverses sur le "bien vieillir" et les débats sur le transhumanisme n'ont jamais été aussi brûlantes.
Vieux, un Grec ne peut pas l'être - Suivi de la première traduction française du traité de Galien, Sur la santé, livre V est également présent dans les rayons