A travers une série de textes et d'articles, de 1925 à 1944, on assiste ici au développement littéraire de Drieu La Rochelle, à son évolution. Ses... > Lire la suite
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A travers une série de textes et d'articles, de 1925 à 1944, on assiste ici au développement littéraire de Drieu La Rochelle, à son évolution. Ses débuts littéraires, les relations, ponctuées de "lettres", avec les surréalistes, ses lectures, ses rencontres, le problème des rapports de l'écrivain avec la politique sont déjà une première approche. Mais il y a aussi les textes où Drieu réfléchit lui-même sur son oeuvre et sur ses engagements. "Je suis resté un artiste", finira-t-il par écrire. Une seconde partie présente Drieu critique. Il traite du rationalisme, du romantisme, du naturalisme, du symbolisme. Il s'applique surtout aux écrivains de son siècle : Barrès, Gide, Valéry, Claudel, Giraudoux, Aragon, Montherlant, Malraux, Céline, Mauriac et Sartre. Mais, ainsi que le prouvent les six derniers textes, il met "la poésie au-dessus de tout". La critique est pour Drieu un moyen de s'exprimer, tout comme l'ont été les versets d'Interrogation (1917), les essais politiques, les nouvelles, le théâtre, les romans. Les textes qui suivent le révèlent tout entier, à la fois témoin engagé dans l'aventure intellectuelle et spirituelle de son temps et observateur indépendant, détaché, en marge.
A travers une série de textes et d'articles, de 1925 à 1944, on assiste ici au développement littéraire de Drieu la Rochelle, à son évolution. Ses débuts littéraires, les relations, ponctuées de "lettres" , avec les surréalistes, ses lectures, ses rencontres, le problème des rapports de l'écrivain avec la politique sont déjà une première approche. Mais il y a aussi les textes où Drieu réfléchit lui-même sur son oeuvre et sur ses engagements. "Je suis resté un artiste" , finira-t-il par écrire. Une seconde partie présente Drieu critique. Il traite du rationalisme, du romantisme, du naturalisme, du symbolisme. Il s'applique surtout aux écrivains de son siècle : Barrès, Gide, Valéry, Claudel, Giraudoux, Aragon, Montherlant, Malraux, Céline, Mauriac et Sartre. Mais, ainsi que le prouvent les six derniers textes, il met "la poésie au-dessus de tout" . La critique est pour Drieu un moyen de s'exprimer, tout comme l'ont été les versets d'Interrogation (1917), les essais politiques, les nouvelles, le théâtre, les romans. Les textes qui suivent le révèlent tout entier, à la fois témoin engagé dans l'aventure intellectuelle et spirituelle de son temps et observateur indépendant, détaché, en marge.
Romancier et essayiste né à Paris en 1893. Prend part aux combats de la Première Guerre mondiale. Hanté par la décadence de la société, se rallie au fascisme. Met fin à ses jours en 1945.