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Que m'est-il permis d'espérer ? Kant y voyait l'une des questions fondamentales posées à l'être humain. Et le terrain par excellence de la religion. Aujourd'hui pourtant, les virtuoses de l'espérance semblent avoir changé d'adresse : c'est à la rubrique des diseurs de bonne aventure et dans le cabinet des généticiens qu'ils sont à trouver. Mais une espérance qui se lit dans le marc de café ou se dépiste aux variations de l'ADN m'aide-t-elle à vivre ? Un peu, sûrement. Quelque temps, peut-être. Très souvent pourtant, les duretés et les énigmes du réel ont rapidement raison de ces fragiles espoirs. C'est d'une espérance forte dont nous avons besoin. Les premiers chrétiens ont, eux aussi, dû rendre compte de leur espérance. Pâques, l'événement qu'ils avaient salué comme le triomphe de Dieu sur la mort, avait-il réellement changé la face du monde ? Pour y répondre, Paul, le premier théologien de l'Eglise, s'est saisi de la plume, offrant aux croyants un véritable manifeste pour l'espérance et nous léguant, à deux mille ans de distance, une correspondance qui console et tonifie tout à la fois.
Docteur en théologie, Simon Butticaz participe à l'enseignement et à la recherche en Nouveau Testament à l'Institut romand des sciences bibliques (Université de Lausanne).