Menu
Mon panier

En cours de chargement...

Recherche avancée
  • Télécharger des extraits

Médée (Broché)

  • Larousse

  • Paru le : 21/08/2013
Un grand classique étudié au lycée vient enrichir la collection des Petits Classiques Larousse : Médée. Corneille, dans sa première tragédie, fait... > Lire la suite
  • Plus d'un million de livres disponibles
  • Retrait gratuit en magasin
  • Livraison à domicile sous 24h/48h*
    * si livre disponible en stock, livraison payante
3,50 €
En stock
  • ou
    À retirer gratuitement en magasin U à partir du 2 mai
  • E-book À partir de 0,00 €
Un grand classique étudié au lycée vient enrichir la collection des Petits Classiques Larousse : Médée. Corneille, dans sa première tragédie, fait de Médée une sorcière colérique, une mère criminelle, mais aussi une femme courageuse qui s'élève seule contre le pouvoir des hommes.

Fiche technique

  • Date de parution : 21/08/2013
  • Editeur : Larousse
  • Collection : Petits Classiques
  • ISBN : 978-2-03-589299-7
  • EAN : 9782035892997
  • Format : Poche
  • Présentation : Broché
  • Nb. de pages : 158 pages
  • Poids : 0.15 Kg
  • Dimensions : 12,5 cm × 18,0 cm × 0,8 cm

À propos de l'auteur

Pierre Corneille

Biographie de Pierre Corneille

1606-1684. Avocat, il débute au théâtre par des comédies (Mélite, 1629 ; la Galerie du Palais, 1632 - 1633 ; la Place Royale, 1633 - 1634 ; l'Illusion comique, 1635 - 1636) et devient célèbre avec une tragi-comédie, le Cid (1637), qui provoque une querelle littéraire. Sensible aux critiques, il se consacre alors à la tragédie "régulière" (Horace, 1640 ; Cinna, 1642 ; Polyeucte, 1643), sans abandonner la comédie à la mode espagnole (le Menteur, 1643 ; Don Sanche d'Aragon, 1650) et les divertissements de cour (Andromède, 1650).
Évoluant vers une utilisation systématique du pathétique et des intrigues plus complexes (la Mort de Pompée, 1643 ; Rodogune, 1644 - 1645 ; Nicomède, 1651), il connaît avec Pertharite (1651) un échec qui l'éloigne du théâtre pendant sept ans. Il traduit en vers l'Imitation de Jésus-Christ (1651 - 1656) et s'occupe de l'édition de son théâtre, dont il définit les principes dans les Examens de ses pièces et trois Discours (1660).
Revenu à la scène (Oedipe, 1659 ; Sertorius, 1662 ; Sophonisbe, 1663 ; Attila, 1667), il voit le public lui préférer Racine (Tite et Bérénice, 1670). Corneille peint des héros "généreux" pour qui l'honneur et la gloire méritent tous les sacrifices. Le drame cornélien atteint le "sublime", mais refuse le "tragique", puisqu'il est le fait d'êtres libres qui décident toujours de leur destin (Académie française).
Pierre Corneille - Médée.
3,50 €
Haut de page