Juxtaposer deux mondes en roman n'est jamais chose aisée. Ferdinande remplit parfaitement sa tâche en nous parlant de ceux du dehors et de ceux du dedans. Quel dedans ? celui de la ville, ses dédales, ses rues, son architecture à Escher où le promeneur ne sait plus sur quel palier danser. Quelle danse ? Celle d'Ensor, de ses personnages grimés qui grouillent dans un bal musette sans fin.