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" Le Diable au corps, chef-d'œuvre de promesses et les promesses tenues : Le Bal du comte d'Orgel ", disait Cocteau, et Gide dans son Journal écrit : " Après Le Grand Meaulnes, lu le Bal du comte d'Orgel que je ne connaissais pas davantage. Extraordinaire pureté de ce livre ; presque excessive. Cela tient de la gageure et de l'acrobatie. La réussite est à peu près parfaite. Bien supérieur au Grand Meaulnes... Une irressaisissable fraîcheur. " Le Bal parut en 1923,l'année de la mort de Radiguet : il avait vingt ans.
L'année même où fut publié Le Diable au corps, "chef-d'oeuvre de promesses" , Raymond Radiguet remit à l'automne le manuscrit d'un nouveau roman, Le Bal du comte d'Orgel. Mais, emporté par une typhoïde quelques semaines plus tard, il n'eut pas le temps de voir sortir le livre. Il avait vingt ans. Ayant décidé d'imiter Mme de La Fayette, il avait "installé son chevalet" devant La Princesse de Clèves : l'expression est de Jean Cocteau. "Promesses tenues" , écrit ce dernier. Pour André Gide, ce livre, "à l'extraordinaire pureté, presque excessive, tient de la gageure et de l'acrobatie. La réussite est à peu près parfaite" .