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La becquée (Broché)

Name: La becquée
Price: 16 EUR
Availability: OutOfStock
Author: René Boylesve
ISBN: 9782365750295

René Boylesve

Marivole Editions
Paru le : 12/04/2013

L'auteur transpose dans ce roman des souvenirs d'enfance. Henri Nadaud, dit Riquet, perd sa mère alors qu'il n'a que cinq ans. Il va vivre pas très... > Lire la suite

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L'auteur transpose dans ce roman des souvenirs d'enfance. Henri Nadaud, dit Riquet, perd sa mère alors qu'il n'a que cinq ans. Il va vivre pas très loin de Tours, chez Félicie, sa grande-tante. Cette tante s'est employée toute sa vie à donner la becquée à de nombreux enfants. Elle vit dans le beau domaine de Courance, traversé par une rivière. Toute la famille défile devant le lecteur, avec ses tendresses, ses querelles, sa solidarité.
Dans ce roman de moeurs provinciales, Boylesve nous décrit la Touraine, ainsi que les comédies, les petitesses, les souffrances de la famille provinciale française.

Fiche technique

Résumé
Fiche technique
Auteur

Date de parution : 12/04/2013
Editeur : Marivole Editions
Collection : Terroirs classiques
ISBN : 978-2-36575-029-5
EAN : 9782365750295
Format : Grand Format
Présentation : Broché
Nb. de pages : 207 pages
Poids : 0.315 Kg
Dimensions : 14,0 cm × 22,5 cm × 1,9 cm

À propos de l'auteur

Résumé
Fiche technique
Auteur

Biographie de René Boylesve

René Boylesve est le nom de plume de René Tardiveau. Il est né le 14 avril 1867 à La Haye-Descartes. Il perd sa mère en 1871 et est élevé par sa grande-tante Clémence Jeanneau, modèle du personnage de la tante Félicie Planté dans "la Becquée". Après avoir obtenu son baccalauréat en 1885, il s'installe à Paris pour suivre des études d'histoire et de droit à la Sorbonne, et se lance dans la vie littéraire du quartier Latin.
Jusqu'en 1896, il collabore à diverses revues dans lesquelles il publie sous divers pseudonymes. Il fréquente Gide, Charles Guérin, Valéry, Des Gachons... Plus tard, il se liera avec Proust. En 1896 il publie son premier livre "Le Médecin des Dames de Néans", chez Ollendorf. De nombreux romans suivront, dans lesquels il a décrit avec beaucoup de naturel et de finesses les moeurs de la province et en particulier de la Touraine.
Il est élu en 1918 à l'Académie française. Il meurt d'un cancer le 14 janvier 1926. La postérité ne lui a pas donné la place qu'il mérite, c'est un constat que font tous ceux qui découvrent son oeuvre.