Une sonate en quatre mouvements, inspirée très librement par la structure de la sonate D. 960 de Schubert. Elle associe plus ou moins librement l'autobiographie - déjà évoquée dans la saga, en particulier le "Roman polyphonique" - à un imaginaire romanesque sous la forme de courtes nouvelles qui se répondent à la manière d'une fugue à plusieurs voix. Comme toujours, la Musique enchâsse un secret inviolable.