Le roman exprime-t-il nos brisures, nos cassures, nos failles ? Le roman peut-il modifier ou renouveler ses formes en intégrant les autres genres de la littérature, les arts, la poésie, le théâtre, le journal intime, l'essai, la musique ? Comment le roman perçoit-il un même sujet autobiographique qui est un moi éclaté aux multiples expressions ?