George se sent trahi. Contre l'artiste peintre, engagé sur la recommandation bienveillante de son ami Alfred, il élève son courroux : le tableau est incontestablement remarquable dans toutes ses lignes à un très déplaisant détail près... Mais face à toute oeuvre, quelle qu'elle soit, et en faisant montre de tant d'outrecuidance, se contenterait-il, lui aussi, d'un unique sens de lecture sans laisser la place au message rampant de l'auteur ?