Ces maux sont pour nous comme une seconde peau, ce ne sont ni un avant, ni un arrière-goût. Juste quelques plaies ouvertes à notre insu. Ces maux nous rongent de l'intérieur, telle une pieuvre, nous accrochent et nous poursuivent. Au diable les revers, tous ces traîne-misère, ces hommes turritelles. Ces maux germinateurs nous détruisent peu à peu, nous asphyxient, nous endurcissent. Comme une calvitie, ces maux nous déshabillent de l'intérieur.