Menu
Mon panier

En cours de chargement...

Recherche avancée

Spirou et les petits formats - Édition commentée

  • Dupuis

  • Paru le : 12/11/2021
Une aventure réalisée par Franquin et Roba pour Le Parisien libéré à redécouvrir aujourd'hui et pour la première fois, les lecteurs pourront le... > Lire la suite
9,99 €
E-book - Epub fixed layout
Vérifier la compatibilité avec vos supports
Une aventure réalisée par Franquin et Roba pour Le Parisien libéré à redécouvrir aujourd'hui et pour la première fois, les lecteurs pourront le découvrir sous sa forme originelle, en fac-similé de sa publication en six strips dans le journal, ainsi que sous sa forme moderne, recolorisée, puis en planches originales commentées par Christelle & Bertrand Pissavy-Yvernault. Lorsque Spirou et Fantasio débarquent à Champignac, ils sont loin de se douter que le danger les guette.
Fantasio enquête sur un "scoop" et Spirou décide de le laisser et de vaquer à ses propres occupations. Mais au bout de 24 heures, Fantasio n'est pas reparu et Spirou, aidé par le Marsupilami, part à sa recherche...

Fiche technique

  • Date de parution : 12/11/2021
  • Editeur : Dupuis
  • Collection : Spirou
  • ISBN : 979-10-347-5141-9
  • EAN : 9791034751419
  • Format : Epub fixed layout
  • Caractéristiques du format Epub fixed layout
    • Taille : 101 857 Ko
    • Protection num. : Digital Watermarking

À propos des auteurs

Né à Etterbeek le 3 janvier 1924, André Franquin dessine dès son plus jeune âge. Après s'être quelque peu ennuyé aux cours de l'école Saint-Luc à Saint-Gilles, il devient, en 1944, apprenti animateur à l'éphémère compagnie CBA où il a pour compagnons Eddy Paape, un vétéran du studio, le jeune Morris et, peu après, le débutant Peyo. Morris livrant des cartoons au MOUSTIQUE, il se voit traîné par son copain aux Éditions Dupuis où Jijé les prend sous son aile et leur présente son élève Will.
Logeant chez la famille Gillain à Waterloo, cette joyeuse troupe formera "la bande des quatre". Le père de Valhardi lui propose de reprendre le personnage de Spirou, ce qu'il fait en dessinant "Le Tank", une histoire complète publiée dans l'"Almanach Spirou 1947", puis en poursuivant à partir de la sixième planche une aventure en cours, "Les Maisons préfabriquées". Parallèlement, il réalise de nombreuses illustrations dans l'hebdomadaire SPIROU et le magazine scout PLEIN-JEU, ainsi que des cartoons pour LE MOUSTIQUE et des couvertures pour LES BONNES SOIRÉES. De 1948 à 1949, il suit Jijé et Morris aux États-Unis et au Mexique, mais la nostalgie de son Bruxelles natal et de sa promise l'amène à écourter le périple et à rentrer en Europe avant ses compagnons. Durant dix ans, il va se consacrer essentiellement à la série "Spirou et Fantasio" et à l'animation du journal : récits complets spéciaux, animations de couvertures, illustrations diverses.
L'univers du petit groom va prodigieusement s'enrichir en personnages superbes: le comte de Champignac, l'incroyable Marsupilami (1952), la journaliste Seccotine, les redoutables Zantafio et Zorglub, etc. D'épisodiques collaborateurs lui viendront parfois en aide pour un récit : les scénaristes Henri Gillain ("Il y a un sorcier à Champignac") et Maurice Rosy ("Le Dictateur et le champignon"), Greg pour les "Zorglub", le décorateur Will ("Les Pirates du silence").
Mais l'ensemble est entièrement dominé par le talent du génial perfectionniste. Un bref malentendu avec les services de l'éditeur le pousse à lancer parallèlement la série à gags "Modeste et Pompon" dans TINTIN en 1955. La situation s'éclaircit néanmoins rapidement et dès 1959, il abandonne ces personnages à d'autres mains. L'accueil enthousiaste réservé à tout ce qui sort de sa plume et de son pinceau contraint à une production effrénée cet homme qui ne sait pas dire non.
En 1957, il a effectué un ballon d'essai avec un "héros sans emploi", l'immortel "Gaston", imaginé avec Yvan Delporte pour animer les pages rédactionnelles : son succès est tel que le gaffeur de la Rédaction doit vite aborder la vraie bande dessinée et Franquin se trouve avec plusieurs planches à réaliser par semaine. Car il n'est pas question de réduire le rythme de "Spirou" et un quotidien français, LE PARISIEN LIBÉRÉ, requiert trois aventures de ce personnage en prépublication exclusive.
Un petit atelier Franquin est improvisé pour répondre à la demande. Tandis que Jidéhem l'assiste sur Gaston, Roba participe aux épisodes pour LE PARISIEN, Greg et Marcel Denis lui apportent des scénarios et des idées. Franquin est néanmoins contraint de délaisser une de ses plus récentes créations, "Le Petit Noël", et de se battre pour rétablir sa santé affaiblie par tant de fatigues. Une dépression l'oblige à interrompre un de ses plus remarquables récit, "QRN sur Bretzelburg", mais il se fait un point d'honneur à poursuivre malgré tout "Gaston Lagaffe". Spirou lui pèse et il passe le relais à Fournier en 1968 après une ultime prouesse parodique, "Panade à Champignac", où il cherche à se libérer de la contrainte des héros traditionnels et des récits classiques. Il se tourne entièrement vers le gag en une planche avec Gaston et commence, en 1972, la réalisation de ses premiers (adorables) monstres pour l'animation des couvertures de SPIROU.
Ces étonnantes créatures seront partiellement réunies dans l'album "Cauchemarrant" (Éditions Bédérama en 1979), puis seront reprises en cartes postales aux Éditions Dalix. Il crée ses premières "Idées noires" dans LE TROMBONE ILLUSTRÉ, éphémère supplément animé par Yvan Delporte en 1977 dans SPIROU, et les poursuivra dans le mensuel FLUIDE GLACIAL. L'âge venant, sa production se restreint et "Gaston" n'atteindra pas les mille gags, au grand dam de ses millions d'admirateurs. En 1987, Marsu-Productions lance le Marsupilami dans de grandes aventures autonomes et en confie la réalisation graphique à Batem, sous la supervision de Franquin au début de la série.
Greg, puis Yann, Fauche et Adam en assumeront le scénario. Deux ans plus tard, Franquin crayonne en un style totalement libéré des lourdes contraintes de la BD une foison de petits personnages, les "Tifous", qui feront l'objet de dessins animés télévisés par les studios ODEC/Kid Cartoons, sur des scénarios de Delporte, Xavier Fauche et Jean Léturgie. Franquin nous a quittés le 5 janvier 1997 peu avant l'édition chronologique rénovée de "Gaston Lagaffe" en dix-sept volumes aux Éditions Dupuis, à laquelle il convient de joindre deux tomes complémentaires établis par Marsu-Productions avec les dessins oubliés ou écartés par l'auteur de son vivant. Franquin a par ailleurs corédigé avec Delporte plusieurs épisodes fantastiques de la série "Isabelle", illustrée par Will, ainsi que "Les Démêlés d'Arnest Ringard et la taupe Augraphie", mis en images par Frédéric Janin. Hergé se considérait comme un piètre dessinateur face à ce grand artiste qui a imprimé son empreinte sur le journal de SPIROU et ce que l'on appelle l'"École de Marcinelle".
Son style expressif et devenu de plus en plus nerveux avec la maturité a apporté vie, humour et dynamisme à la "ligne claire". Né à Etterbeek le 3 janvier 1924, André Franquin dessine dès son plus jeune âge. Après s'être quelque peu ennuyé aux cours de l'école Saint-Luc à Saint-Gilles, il devient, en 1944, apprenti animateur à l'éphémère compagnie CBA où il a pour compagnons Eddy Paape, un vétéran du studio, le jeune Morris et, peu après, le débutant Peyo.
Morris livrant des cartoons au MOUSTIQUE, il se voit traîné par son copain aux Éditions Dupuis où Jijé les prend sous son aile et leur présente son élève Will. Logeant chez la famille Gillain à Waterloo, cette joyeuse troupe formera "la bande des quatre". Le père de Valhardi lui propose de reprendre le personnage de Spirou, ce qu'il fait en dessinant "Le Tank", une histoire complète publiée dans l'"Almanach Spirou 1947", puis en poursuivant à partir de la sixième planche une aventure en cours, "Les Maisons préfabriquées".
Parallèlement, il réalise de nombreuses illustrations dans l'hebdomadaire SPIROU et le magazine scout PLEIN-JEU, ainsi que des cartoons pour LE MOUSTIQUE et des couvertures pour LES BONNES SOIRÉES. De 1948 à 1949, il suit Jijé et Morris aux États-Unis et au Mexique, mais la nostalgie de son Bruxelles natal et de sa promise l'amène à écourter le périple et à rentrer en Europe avant ses compagnons. Durant dix ans, il va se consacrer essentiellement à la série "Spirou et Fantasio" et à l'animation du journal : récits complets spéciaux, animations de couvertures, illustrations diverses.
L'univers du petit groom va prodigieusement s'enrichir en personnages superbes: le comte de Champignac, l'incroyable Marsupilami (1952), la journaliste Seccotine, les redoutables Zantafio et Zorglub, etc. D'épisodiques collaborateurs lui viendront parfois en aide pour un récit : les scénaristes Henri Gillain ("Il y a un sorcier à Champignac") et Maurice Rosy ("Le Dictateur et le champignon"), Greg pour les "Zorglub", le décorateur Will ("Les Pirates du silence").
Mais l'ensemble est entièrement dominé par le talent du génial perfectionniste. Un bref malentendu avec les services de l'éditeur le pousse à lancer parallèlement la série à gags "Modeste et Pompon" dans TINTIN en 1955. La situation s'éclaircit néanmoins rapidement et dès 1959, il abandonne ces personnages à d'autres mains. L'accueil enthousiaste réservé à tout ce qui sort de sa plume et de son pinceau contraint à une production effrénée cet homme qui ne sait pas dire non.
En 1957, il a effectué un ballon d'essai avec un "héros sans emploi", l'immortel "Gaston", imaginé avec Yvan Delporte pour animer les pages rédactionnelles : son succès est tel que le gaffeur de la Rédaction doit vite aborder la vraie bande dessinée et Franquin se trouve avec plusieurs planches à réaliser par semaine. Car il n'est pas question de réduire le rythme de "Spirou" et un quotidien français, LE PARISIEN LIBÉRÉ, requiert trois aventures de ce personnage en prépublication exclusive.
Un petit atelier Franquin est improvisé pour répondre à la demande. Tandis que Jidéhem l'assiste sur Gaston, Roba participe aux épisodes pour LE PARISIEN, Greg et Marcel Denis lui apportent des scénarios et des idées. Franquin est néanmoins contraint de délaisser une de ses plus récentes créations, "Le Petit Noël", et de se battre pour rétablir sa santé affaiblie par tant de fatigues. Une dépression l'oblige à interrompre un de ses plus remarquables récit, "QRN sur Bretzelburg", mais il se fait un point d'honneur à poursuivre malgré tout "Gaston Lagaffe". Spirou lui pèse et il passe le relais à Fournier en 1968 après une ultime prouesse parodique, "Panade à Champignac", où il cherche à se libérer de la contrainte des héros traditionnels et des récits classiques. Il se tourne entièrement vers le gag en une planche avec Gaston et commence, en 1972, la réalisation de ses premiers (adorables) monstres pour l'animation des couvertures de SPIROU.
Ces étonnantes créatures seront partiellement réunies dans l'album "Cauchemarrant" (Éditions Bédérama en 1979), puis seront reprises en cartes postales aux Éditions Dalix. Il crée ses premières "Idées noires" dans LE TROMBONE ILLUSTRÉ, éphémère supplément animé par Yvan Delporte en 1977 dans SPIROU, et les poursuivra dans le mensuel FLUIDE GLACIAL. L'âge venant, sa production se restreint et "Gaston" n'atteindra pas les mille gags, au grand dam de ses millions d'admirateurs. En 1987, Marsu-Productions lance le Marsupilami dans de grandes aventures autonomes et en confie la réalisation graphique à Batem, sous la supervision de Franquin au début de la série.
Greg, puis Yann, Fauche et Adam en assumeront le scénario. Deux ans plus tard, Franquin crayonne en un style totalement libéré des lourdes contraintes de la BD une foison de petits personnages, les "Tifous", qui feront l'objet de dessins animés télévisés par les studios ODEC/Kid Cartoons, sur des scénarios de Delporte, Xavier Fauche et Jean Léturgie. Franquin nous a quittés le 5 janvier 1997 peu avant l'édition chronologique rénovée de "Gaston Lagaffe" en dix-sept volumes aux Éditions Dupuis, à laquelle il convient de joindre deux tomes complémentaires établis par Marsu-Productions avec les dessins oubliés ou écartés par l'auteur de son vivant. Franquin a par ailleurs corédigé avec Delporte plusieurs épisodes fantastiques de la série "Isabelle", illustrée par Will, ainsi que "Les Démêlés d'Arnest Ringard et la taupe Augraphie", mis en images par Frédéric Janin. Hergé se considérait comme un piètre dessinateur face à ce grand artiste qui a imprimé son empreinte sur le journal de SPIROU et ce que l'on appelle l'"École de Marcinelle".
Son style expressif et devenu de plus en plus nerveux avec la maturité a apporté vie, humour et dynamisme à la "ligne claire". Né le 28 juillet 1930 à Schaerbeek, dessinateur dès son plus jeune âge, Jean Roba se tourne d'abord vers la publicité, où il travaille comme illustrateur avant de devenir chef de studio. C'est Franquin qui l'introduit en 1957 aux Éditions Dupuis, où Roba commence à fournir des illustrations pour les hebdomadaires Spirou et Bonne Soirée.
Après deux essais sur Les Belles Histoires de l'oncle Paul, en collaboration avec Paape, Roba crée son premier personnage personnel, Tiou, le petit Sioux, et entre à l'atelier de Franquin où il participe à trois récits de Spirou et Fantasio : Spirou et les Hommes-bulles, Tembo Tabou et Les Petits Formats. En parallèle, Roba réalise en 1959, sur un scénario de Maurice Rosy, les premières aventures de Boule et Bill dans le mini-récit Boule contre les mini-requins, proposé en supplément du Spirou n°1132.
Le petit garçon et le chien qu'il représente ici appartiennent à sa propre famille, puisque Roba s'est inspiré de son fils Philippe, dit Boule, et de son cocker Bill. À la suite de cet essai très convaincant, Boule et Bill s'installent définitivement comme personnages hebdomadaires dans le journal Spirou. Le premier album de 60 Gags de Boule et Bill sort en 1962 aux Éditions Dupuis. Roba va dès lors tenir un rythme de production aussi qualitatif qu'effréné pendant près de vingt ans, enchaînant les gags en une page et n'accordant à ses personnages qu'une seule longue aventure, Boule et Bill globe-trotters, en 1982.
Après plus de 20 albums chez Dupuis, Boule et Bill partiront chez Dargaud pour y dépasser, à un rythme plus réduit, les mille gags. Dargaud propose, à partir de 2011, les albums jeunesse P'tit Boule & Bill, sur un scénario de Laurence Gillot et un dessin de Jose Luis Munuera. Ce nouveau duo renoue ainsi avec la collection du « Carrousel », albums jeunesse à l'italienne où de grands auteurs tels que Roba illustraient des récits pour les petits.
Des « Carrousel » tels que Boule et Bill à la montagne ou La Maison perdue sont d'ailleurs republiés à partir de 2009 par Dupuis. Il est à noter que pendant ses années les plus productives, Roba réalisera de nombreuses animations et illustrations pour Spirou. Il sera ainsi l'auteur chargé, de 1961 à 1965, d'annoncer en couverture et en dessins les grandes séries présentes dans l'hebdomadaire. Car Roba, ça n'est pas que Boule et Bill.
La preuve avec La Ribambelle, série lancée chez Spirou en 1962 sur des scénarios écrits de sa main ou de celles de Vicq, Tillieux et Delporte. La Ribambelle, aventures d'une bande d'enfants forts en humour et personnalité, dans lesquels se retrouvent de nombreux jeunes lecteurs, rencontre elle aussi un joli succès. Afin de valoriser au mieux l'ouvre de Roba, Dupuis publie en 2015, en édition noir et blanc, La Ribambelle en Écosse dans la collection « 50/60 » (Niffle).
Roba est également le créateur de la petite fille Pomme pour le mensuel Record, en 1962. De temps à autre, il s'offre en outre le luxe de réaliser de courtes histoires complètes, afin d'explorer d'autres voies graphiques et créer des personnages qu'il regrettera le plus souvent de ne pouvoir poursuivre. Car le succès phénoménal de Boule et Bill le contraint progressivement à abandonner ses autres créations.
Roba ne laissera ainsi que des ébauches en quelques planches des Frères Fratelli, de Jo Toubib et son boy Esculape, des Cinq Petits Anges du Paradis ou encore de La Naissance d'un fantôme. En 1977, il anime brièvement Adam au paradis dans trois brèves histoires du Sixième Jour pour Le Trombone illustré, éphémère mais regretté supplément du journal Spirou. En 1999, pour saluer les quarante années de carrière de personnages parmi les plus emblématiques de leurs catalogues respectifs, les Éditions Dupuis et Dargaud s'associent pour présenter l'intégrale chronologique des gags de Boule et Bill, en 27 albums.
Le gamin et le cocker qui ne vieillissent pas dépassent désormais les vingt-cinq millions d'albums vendus en France et en Belgique. Ils sont proposés dans une douzaine de langues et inspirent d'innombrables produits dérivés et dessins animés un peu partout dans le monde. À partir de 2003, Roba décide de passer la main, confiant Boule et Bill au scénariste Cric, épaulé par Aranega, Ferri, Cucuel, Veys ou encore Corbeyran au gré des albums.
Le dessin de ces nouveaux albums est assuré par Laurent Verron (Mademoiselle J.), ancien assistant de Roba, dont il adopte le fameux trait « lancé ». La série est actuellement menée par le tandem Cazenove/Bastide. Roba nous a quittés en 2006, à l'âge de 75 ans. Mais ses personnages, eux, sont éternels, comme en témoigne l'indéracinable attachement des lecteurs, mais aussi de récentes adaptations en longs métrages, avec entre autres Marina Foïs et Franck Dubosc dans les rôles des parents de Boule.
Les aventures de l'enfant et son cocker n'ont pas fini de faire partie de notre vie...
Jean Roba et  Franquin - Spirou et les petits formats - Édition commentée.
Spirou et les petits formats. Édition commentée
Jean Roba, ...
9,99 €
Haut de page