Biographie de Valérie Toranian
Richard Millet est écrivain. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dont, en 2014, Le Corps politique de Gérard Depardieu (Pierre-Guillaume de Roux) et Sibelius, Les Cygnes et le Silence (Gallimard).
Frédéric Verger est né en 1959. Il enseigne le français dans un lycée de la banlieue parisienne.
Arden est son premier roman.
Professeur de littérature française du XVIIIe siècle à l'Université Paris IV-Sorbonne, Michel Delon est un spécialiste du siècle des Lumières (en particulier de l'histoire des idées et de la littérature libertine) qu'il a décrit pendant des années dans Le Magazine Littéraire et continue de décrire dans diverses autres revues.
Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur cette époque, dont L'invention du boudoir, et l'éditeur, notamment, du Dictionnaire européen des Lumières (1997), des OEuvres de Sade et des Contes et romans de Diderot dans la « Bibliothèque de la Pléiade ».
Il a publié chez Albin Michel Le Principe de la délicatesse (2011) et Diderot, cul par-dessus tête (2013), pour lequel il a reçu le Prix littéraire Paris-Liège.
Grand reporter et chroniqueuse, Christine Clerc est l'une des premières lauréates du prestigieux Prix Albert Londres. Elle est l'auteur d'une vingtaine de livres, dont Les de Gaulle, une famille française, Tigres et Tigresses, histoire intimedes couples présidentiels, et De Gaulle-Malraux, une histoire d'amour.
Renaud Girard, journaliste et essayiste, est l'un des correspondants de guerre les plus expérimentés en France.
Professeur de stratégie à Sciences-Po, il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur le Moyen-Orient et sur l'art de la guerre asymétrique.
Sébastien Lapaque est romancier, essayiste et critique au Figaro littéraire. Auteur de nombreux romans et essais, il a publié Sermon de saint François d'Assise aux oiseaux et aux fusées chez Stock en 2008.
Adrien Goetz est écrivain et enseigne l'histoire de l'art à la Sorbonne.
Il écrit également de la littérature policière ; son roman Intrigue à l'anglaise (Grasset, 2007) a obtenu le prix Arsène Lupin.
D'où vient le « politiquement correct » de la culture ? La diversité culturelle, jusqu'alors au service de la défense du pluralisme, s'est depuis aventurée dans la comptabilité ethnique et biologique au sein du milieu culturel. Elle a alors été prétexte à la construction d'un nouvel académisme en art, accompagné de censures fondées sur un supposé « droit à représenter », où les dogmes ethno-différentialistes mettent à bas les fondements universalistes qui permettent de faire société.
Le nouvel académisme anti-culturel, qui tue à la fois l'académisme et la contre-culture, transforme l'art en ingénierie sociale et en moyen de contrôle, au nom de notre propre émancipation, et joue le rôle d'un miroir grossissant. Il faut s'en inquiéter : le politiquement correct viendra-t-il à bout des règles les plus élémentaires de la vie démocratique ?
Josepha Laroche est professeur au département de science politique de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Elle est également membre du laboratoire de recherches Économie et sociétés (CNRS) et anime Chaos International, un centre d'études et de recherches transnationalistes. Elle a notamment publié Les Prix Nobel (Liber, 2012), Politique internationale ( LGDJ, 2000), et a dirigé Mondialisation et gouvernance mondiale (PUF, 2003) ainsi que Un monde en sursis (2010), Passage au crible de la scène mondiale (2011), et La loyauté dans les relations internationales (2011) chez L'Harmattan.
L' « effet papillon » adapté à un thriller.
Une blague de potache qui a des conséquences particulièrement sanglantes. Un Traffic à la française.
Historien, professeur des universités, a publié des ouvrages dans le domaine de l'historiographie et dans celui de l'histoire intellectuelle.
Professeur de science politique à l'université Panthéon-Assas