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Modeste et Pompon - Tome 3 - Tout plein de gags

  • Le Lombard

  • Paru le : 14/11/2022
« Modeste a bien des traits de Fantasio. C'est un vantard sympa, une bonne poire. Il est inventif, serviable, maladroit, colérique, non dénué d'humour.... > Lire la suite
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« Modeste a bien des traits de Fantasio. C'est un vantard sympa, une bonne poire. Il est inventif, serviable, maladroit, colérique, non dénué d'humour. Pompon est une chic fille, un peu naïve, un peu fleur bleue, mais qui ne manque pas de caractère. Sont-ils amis ou fiancés ? Je n'en sais rien. », ainsi Franquin présentait-il ces précurseurs de son illustre Gaston Lagaffe. Habitant dans des décors typiques des fifties, le « couple » vivra paisiblement jusqu'à l'irruption de Félix, cousin gaffeur et vendeur casse-pieds de produits ringards.
Il sera aussi confronté aux irascibles voisins Dubruit et Ducrin, à des neveux turbulents et à Jules, le coq du truculent oncle Symphorien.

Fiche technique

  • Date de parution : 14/11/2022
  • Editeur : Le Lombard
  • Collection : Modeste et Pompon
  • ISBN : 978-2-8082-1201-4
  • EAN : 9782808212014
  • Format : Epub fixed layout
  • Caractéristiques du format Epub fixed layout
    • Taille : 42 086 Ko
    • Protection num. : Contenu protégé
    • Transferts max. : 6 copie(s) autorisée(s)
    • Imprimable : Non Autorisé
    • Copier coller : Non Autorisé

À propos des auteurs

Impossible de parler de bande dessinée franco-belge sans évoquer le nom de Franquin ! Après avoir fréquenté les cours de l'école Saint-Luc à Bruxelles pendant un an, il entre en 1945 aux studios de dessins animés C. B. A. Formé ensuite par Jijé à la célèbre, et informelle, école de Marcinelle, le jeune dessinateur impressionne l'auteur de "Spirou et Fantasio" au point que ce dernier lui confie rapidement la reprise de sa série.
Franquin y montre l'étendue de son talent pour le dessin humoristique, capable d'insuffler une nervosité extraordinaire à son trait, tout en conservant une parfaite lisibilité. Au cours de l'épisode "Spirou" et les héritiers, il fait intervenir le "Marsupilami", l'un des animaux imaginaires les plus fabuleux de la bande dessinée. Véritable génie du 9e Art, il imagine l'exquis "Modeste et Pompon" pour le journal "Tintin" et devient un pilier du journal "Spirou", dans les pages duquel il créera son héros le plus célèbre, Gaston Lagaffe.
Optimiste et insouciant, le célèbre tire-au-flanc se révèle finalement à l'exact opposé de son créateur. En effet, ses "Idées Noires" en attestent, Franquin est également sensible à la cruauté d'un monde qu'il trouve parfois injuste, et son empathie le dirige aussi vers des sujets moins comiques. Malgré ses nombreuses productions, il trouve toujours le temps de conseiller de jeunes dessinateurs, et consacre ses dernières années à la réalisation d'un dessin animé, "Les Tifous".
Plus encore que de son formidable graphisme, ses proches se souviennent avant tout d'un homme d'une gentillesse et d'une générosité incroyable, qui manque toujours autant depuis son décès, en 1997. Greg n'a pas perdu de temps, puisqu'il signe ses premières planches de bande dessinée à 16 ans. Ce n'est que le début d'une des carrières les plus prolifiques de la profession. Au début des années 50, il fait la connaissance de Franquin, pour lequel il écrit quelques gags.
Rapidement, via l'agence International Press, il va produire un nombre impressionnant de planches, pour tous les goûts, dans tous les styles. Capable de passer du gag au western ou à la série d'espionnage, il trouve même encore le temps de dessiner. Et c'est en auteur complet que, en 1963, il crée son personnage le plus célèbre, « Achille Talon », petit bourgeois dont la logorrhée enchante les lecteurs de Pilote.
Deux ans plus tard, il entame une nouvelle aventure en devenant rédacteur en chef du journal Tintin. Neuf ans durant, il va moderniser de fond en comble le fleuron des éditions du Lombard, écrivant séries et rubriques, et révélant nombre de jeunes artistes qu'il a fédérés autour du célèbre Studio Greg. Véritable découvreur de talents, il révélera ainsi Hermann, Dany, Dupa et bien d'autres. Il renonce à ce poste en 1974, pour tenter l'aventure éditoriale chez Dargaud.
Aventure qui l'emmènera jusqu'aux Etats-Unis, pays qui le fascine depuis l'enfance. Il revient en France au milieu des années 80, sans jamais avoir arrêté d'écrire des histoires humanistes, aux dialogues aussi touchants que prolixes. Jusqu'à la fin de sa carrière, Greg se sera tout entier dédié au 9e Art, lourdement endeuillé depuis sa disparition, le 29 octobre 1999. Créateur des aventures de "Johan et Pirlouit", "Benoît Brisefer", "Poussy" et surtout des "Schtroumpfs", Peyo nous a quittés le 24 décembre 1992, un bien triste soir de Noël. Il était né à Bruxelles le 25 juin 1928, et faisait partie de cette génération d'auteurs qui engendra plusieurs des grandes figures de proue de la BD franco-belge. La guerre l'ayant contraint à abandonner ses études en 1940, c'est aux côtés de quelques-uns des plus fameux créateurs de bandes dessinées qu'il a fait ses débuts dans la vie active.
Rencontrés dans un studio d'animation, Franquin, Morris et Paape sont à l'origine de sa carrière d'auteur-dessinateur. Peyo (ainsi que l'appelait son petit cousin anglais incapable de prononcer Pierrot...) a commencé par produire des dessins humoristiques pour divers magazines et quotidiens avant de créer, en 1946, "Les aventures de Johan". En 1958, c'est la naissance des "Schtroumpfs". Le succès international de ces drôles de petits lutins bleus amena leur créateur à créer son propre studio et à s'entourer d'une équipe d'assistants dirigée aujourd'hui par son fils Thierry Culliford qui coordonne l'exécution graphique et assure la continuité des productions Peyo. La collaboration avec Le Lombard, inaugurée en novembre 1992 avec la parution du "Schtroumpf Financier", se poursuit avec la publication des aventures des personnages créés par Peyo. Comme beaucoup d'artistes de sa génération, Tibet a débuté très jeune le métier de dessinateur.
Il n'a en effet que 16 ans lorsqu'il rejoint les rangs du studio Disney de Bruxelles, collaborant à l'édition locale du "Journal de Mickey". Mais il rêve aussi de ligne claire - Tintin a bercé sa jeunesse - et lorsque l'opportunité se présente de devenir maquettiste au Journal de "Tintin", il n'hésite pas une seule seconde ! Il fera patiemment son apprentissage dans l'ombre des Hergé, Laudy et autres Jacobs.
La reconnaissance viendra en 1952, lorsqu'on lui commande une série animalière. Il choisit le décor du Far-West et crée "Chick Bill", le cow-boy qui parcourt la plaine en chantant. Rapidement, son héros devient humain, et rencontre un vif succès. Auquel il faut adjoindre celui de "Ric Hochet", qu'il crée en 1955 avec Duchâteau. Depuis, hormis ses chères caricatures, son violon d'Ingres, qu'il exploitait dans "La Tibetière" au sein du Journal "Tintin", il s'était essentiellement consacré à ses deux personnages fétiches, produisant pas moins de deux albums par an.
Son décès, le 3 janvier 2010, nous laisse orphelins. Mais son humour potache et sa ligne claire directement héritée des grands anciens ont fait la joie des petits et des grands pendant plus de 50 ans, et ça, ça ne changera jamais ! Impossible de parler bande dessinée sans que, rapidement, ne ressorte le nom de René Goscinny. Ayant grandi en Amérique du Sud, il tente de se faire un nom comme « cartoonist » à New York, en 1946, au moment même où Harvey Kurtzmann et sa bande lancent le célèbre Mad Magazine.
Ce mélange d'observations sociétales et d'humour marque le jeune Goscinny, qui en fera sa marque de fabrique une fois débarqué en Europe. Il y fait rapidement la connaissance des Franquin, Morris et autres Uderzo, tout ce petit monde travaillant pour l'agence World Press de Georges Troisfontaines. Goscinny décide alors de se consacrer au scénario. Stakhanoviste de la machine à écrire, il signe des planches pour tous, ainsi que de nombreux articles, et les célèbres chapitres de la vie du Petit Nicolas.
En 1956, avec Charlier et Uderzo, il tente une fronde pour obtenir un réel statut en tant qu'auteur de B. D. Peine perdue, les trois hommes choisissent de retourner dans leur pays natal, la France. Grand bien leur en prend puisque, bien décidés à ne pas laisser tout ce talent se perdre, ils créent le journal Pilote. Son fer de lance ? Un petit gaulois moustachu qui permet à Goscinny de laisser parler son oeil mordant et son talent pour les jeux de mots.
La suite appartient à l'histoire. En tant que rédacteur en chef, il a contribué à élargir les horizons de la bande dessinée. En tant qu'auteur, il est tout simplement le premier à avoir imposé la B. D. comme digne de l'attention des médias « sérieux ». Inutile de dire que sa disparition prématurée, en 1977, laisse un vide impossible à combler, mais une large brèche dans laquelle s'engouffrer ! Impossible de parler de bande dessinée franco-belge sans évoquer le nom de Franquin ! Après avoir fréquenté les cours de l'école Saint-Luc à Bruxelles pendant un an, il entre en 1945 aux studios de dessins animés C.
B. A. Formé ensuite par Jijé à la célèbre, et informelle, école de Marcinelle, le jeune dessinateur impressionne l'auteur de "Spirou et Fantasio" au point que ce dernier lui confie rapidement la reprise de sa série. Franquin y montre l'étendue de son talent pour le dessin humoristique, capable d'insuffler une nervosité extraordinaire à son trait, tout en conservant une parfaite lisibilité. Au cours de l'épisode "Spirou" et les héritiers, il fait intervenir le "Marsupilami", l'un des animaux imaginaires les plus fabuleux de la bande dessinée.
Véritable génie du 9e Art, il imagine l'exquis "Modeste et Pompon" pour le journal "Tintin" et devient un pilier du journal "Spirou", dans les pages duquel il créera son héros le plus célèbre, Gaston Lagaffe. Optimiste et insouciant, le célèbre tire-au-flanc se révèle finalement à l'exact opposé de son créateur. En effet, ses "Idées Noires" en attestent, Franquin est également sensible à la cruauté d'un monde qu'il trouve parfois injuste, et son empathie le dirige aussi vers des sujets moins comiques.
Malgré ses nombreuses productions, il trouve toujours le temps de conseiller de jeunes dessinateurs, et consacre ses dernières années à la réalisation d'un dessin animé, "Les Tifous". Plus encore que de son formidable graphisme, ses proches se souviennent avant tout d'un homme d'une gentillesse et d'une générosité incroyable, qui manque toujours autant depuis son décès, en 1997.
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