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Mademoiselle J - tome 1 - Il s'appelait Ptirou - Réédition

  • Dupuis

  • Paru le : 09/10/2020
C'est une surprenante et dramatique histoire que celle qui fut contée le soir de ce Noël 1959, dans une demeure de la banlieue de Charleroi. Réunis... > Lire la suite
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C'est une surprenante et dramatique histoire que celle qui fut contée le soir de ce Noël 1959, dans une demeure de la banlieue de Charleroi. Réunis auprès de leur oncle Paul, trois enfants impatients réclament un récit, lequel sera inspiré d'un épisode vieux de presque trente ans... La Grande Dépression fait rage à cette époque malmenée : tensions sociales, grèves et conflits sont le lot quotidien des entreprises industrielles.
Celle de Henri de Sainteloi, grand patron de la Compagnie Générale Transatlantique, ne fait pas exception à la règle. Poussé par ses actionnaires à renégocier les frais de locations des quais, Monsieur de Sainteloi doit se rendre à New York et en profite pour y emmener sa fille unique, Juliette, ravissante enfant atteinte d'une grave insuffisance cardiaque. À des kilomètres de Paris, sur les rives pluvieuses de la Seine, le cirque Marcolini est en deuil : Madly, sa trapéziste vedette, est victime d'un tragique accident qui force Ptirou, son fils, à quitter les saltimbanques pour tenter sa chance en Amérique, là où dit-on tout est possible à qui poursuit ses rêves.
Sur le paquebot en partance pour le Nouveau Continent, voici l'histoire d'une improbable rencontre, d'une aventure bouleversante.

Fiche technique

  • Date de parution : 09/10/2020
  • Editeur : Dupuis
  • Collection : Mademoiselle J
  • ISBN : 979-10-347-5831-9
  • EAN : 9791034758319
  • Format : Epub fixed layout
  • Caractéristiques du format Epub fixed layout
    • Taille : 86 825 Ko
    • Protection num. : Digital Watermarking

À propos des auteurs

Né en 1964 à Bruxelles, Yves Sente est tombé dans la marmite de la bande dessinée dès son plus jeune âge grâce à "Spirou", "Tintin", "Lucky Luke", "Astérix", "Gaston" ou encore "Comanche" et "Jonathan", dévorant avec une boulimie notoire tous les classiques du neuvième art franco-belge. Après des études en droit et en sciences politiques, il se destine à une carrière de diplomate tout en publiant ses premiers dessins et planches dans des revues telles que le "Wall Street Journal" Europe ou "Bravo Uccle". Février 1991 marque son entrée dans le monde de l'édition en tant que rédacteur en chef au Lombard, qui publie entre autres "Hello Bédé" (Kuifje pour la version néerlandaise), Cubitus Magazine, Jet...
Deux ans plus tard, il est nommé directeur éditorial des éditions du Lombard, un poste qu'il occupera jusqu'en 2011. Lorsque Dargaud, en 1997, prospecte une nouvelle équipe pour reprendre la série "Blake et Mortimer", Yves Sente leur fait parvenir anonymement un synopsis qui sera tour à tour approuvé par l'éditeur Didier Christmann, Jean Van Hamme et le dessinateur André Juillard. Ce dernier formera ainsi un duo avec Sente qui aboutira à la parution, au nouveau millénaire, de "La Machination Voronov" ; de ce binôme gagnant, salué par le nouveau succès de la série culte, naîtront dès lors sept autres tomes jusqu'à aujourd'hui, avec un huitième en maturation. En parallèle, Sente s'alliera par deux fois avec Grzegorz Rosinki : une première en 2004 pour "La Vengeance du comte Skarbek" (Prix du scénario de la Chambre belge des experts de BD, chez Dargaud), la seconde en 2007 sur la demande du dessinateur et de Jean Van Hamme afin de continuer durant cinq albums le scénario de "Thorgal" et de signer cinq tomes du spin-off consacré à "Kriss de Valnor" (Le Lombard).
La même année, il lance sa série "Le Janitor" (Dargaud) avec François Boucq avant de reprendre le scénario de "XIII" (Dargaud) aux côtés de Iouri Jigounov. Nonobstant cette remarquable collection d'oeuvres emblématiques, il faut attendre 2011 pour qu'Yves Sente fasse enfin du scénario son unique activité. Cette étape supplémentaire dans son parcours lui permet à présent de créer des titres uniques en compagnie de nouveaux auteurs, parmi lesquels "Il s'appelait Ptirou" avec Laurent Verron (2017, Dupuis) et "Cinq Branches de coton noir" avec Steve Cuzor (2018, Dupuis), sans pour autant abandonner ses précédentes séries.
En plus d'un diptyque "Blake et Mortimer" dessiné par Teun Berserik et Peter Van Dongen, de nombreux projets ne cessent d'ailleurs de l'appeler - pour notre plus grande impatience. Laurent Verron est né à Grenoble le 25 mai 1962. Son premier choc graphique lui vient du dessin animé Le livre de la jungle (1967), dont les images affichées à l'entrée du cinéma le tétanisent de bonheur. Il faut dire que ce long métrage Disney mêle ses deux passions : le dessin et les animaux.
Après un bac obtenu au courage, Verron s'inscrit en faculté de géographie où il passera... 3 mois. Il décide alors de se consacrer pleinement au dessin en autodidacte, motivé par son deuxième choc graphique : Le trombone illustré, mythique supplément du Journal Spirou animé par Franquin. Toujours fourré dans la librairie BD grenobloise Graffitis, il y croise Ptiluc qui lui donne quelques trucs d'encrage au pinceau.
Rencardé par un copain de lycée après son service militaire, Verron devient ensuite maquettiste dans une agence de publicité. Tout s'accélère grâce au libraire de Graffitis, qui apprend à Laurent Verron que les Éditions Dargaud recherchent un auteur pour travailler sur l'album J'apprends l'heure avec Boule et Bill. Verron dessine une planche de « Boule et Bill », qu'il envoie chez Dargaud avant de passer à autre chose.
Quelques semaines plus tard, l'éditeur Guy Vidal emmène le jeune homme à Bruxelles, chez Roba, qui confiera les crayonnés de J'apprends l'heure au débutant sorti de nulle part ! Installé à Bruxelles à partir de 1986, Verron se voit ensuite confier le lettrage et les décors de « Boule et Bill ». Le jeune autodidacte s'offre alors, sous le patronage du grand Roba, une merveilleuse formation où ce dernier lui apprend à maîtriser ce qu'il a baptisé le trait « lancé ». Très heureux d'animer les personnages de Roba, Verron rêve toutefois de créer sa propre bande dessinée et devient, en 1990, le dessinateur de la mini-série « Le Maltais », aventures exotico-humoristiques scénarisées par Loup Durand (Éditions Lefrancq).
Pendant cette période, il dessine également quelques histoires courtes pour Le journal Spirou. En 1994, il contacte le scénariste Yann. Deux ans plus tard, le duo propose aux Éditions du Lombard les aventures comico-délirantes d'Odilon Verjus - père missionnaire des années 30 à qui le Vatican confie moult missions ingrates et délicates. « Les exploits d'Odilon Verjus », série magnifiquement iconoclaste, connaît 7 tomes et se voit consacrer un mur du Parcours BD de Bruxelles, Rue des Capucins.
Une intégrale en deux volumes augmentée d'un dossier conséquent paraît en 2020. Outre ces publications, Verron veille à se ménager de nouveaux territoires graphiques. En 2000, il participe ainsi au collectif Comix 2000 de L'Association. En 2001 et 2002, il illustre pour les Éditions Vents d'ouest des textes de Piaf et Ferré dans des albums collectifs qui leur sont consacrés. En 2002, on le retrouve également pour un Goscinnyrama dans L'album Goscinny (Les Arènes).
En 2003, il inaugure la collection Petits délires du Lombard en publiant Au fil du zinc (avec Cric), recueil de croquis au crayon gras pris sur le vif au bistrot. Ils poursuivront en 2005 avec l'album Tête de Gondole. En 2001, convaincu par l'aide que Verron lui a apportée sur les dernières planches de l'album Les Quatre Saisons, Roba décide de lui confier, sans restriction, le destin de « Boule et Bill ».
Quel cirque ! , réalisé sur des scénarios de Cric, Corbeyran, Cucuel et Veys, sort en 2003. Tout en travaillant sur « Boule et Bill » avec Cric et Veys comme scénaristes principaux, Verron crée la série « Fugitifs sur Terra II » (2009-2012, Dargaud). « Fugitifs », sur une histoire de Cric que Verron nourrit par ses idées, lui permet de créer une ambitieux univers SF et tous publics. Verron poursuivra « Boule et Bill » jusqu'au tome 36 (Flair de cocker, 2015) avant de passer la main.
Il participe à l'ouvrage collectif « Correspondances », échange graphique entre dessinatrices et dessinateurs québécois et français. En 2017, la carrière de Laurent Verron prend un virage décisif avec la sortie de l'album Il s'appelait Ptirou, sur un scénario de Yves Sente (« Blake et Mortimer », « XIII », Cinq branches de coton noir ), où le lecteur est invité à découvrir les origines du personnage ayant inspiré le célèbre groom tutélaire des Éditions Dupuis.
« Ptirou » et son dessin soigné, au trait charbonneux, vaut à Verron une reconnaissance aussi bien publique que critique. L'album est suivi, en 2020, par « Mademoiselle J », série suivant le destin de Juliette, que rencontra Ptirou, journaliste et femme indépendante traversant les grands enjeux du vingtième siècle. L'air de rien, Laurent Verron vient encore de démarrer une nouvelle carrière. Amoureux total du dessin et pur autodidacte, Laurent Verron est devenu collaborateur de Roba à la seule force de son talent.
Après avoir été choisi par le maître pour reprendre « Boule et Bill », il anime le joyeux duo pendant 15 ans. Mais on doit également à Verron l'iconoclaste « Odilon Verjus », sur un scénario de Yann ainsi que Il s'appelait Ptirou (scénario de Sente), album contant les aventures du personnage ayant inspiré Spirou. Un album essentiel prolongé en 2020 par la sublime série « Mademoiselle J », publiée également aux Éditions Dupuis.
Yves Sente et Laurent Verron - Mademoiselle J - tome 1 - Il s'appelait Ptirou - Réédition.
Mademoiselle J - tome 1 - Il s'appelait...
Yves Sente, ...
16,99 €
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