La petite fille qui fit mourir la mort

Un témoignage formidablement inspiré, qui montre que l'on peut dépasser la douleur causée par la perte d'un enfant et accéder à la joie. Voici une plongée dans l'intimité du cour d'une mère qui accompagne la mort de sa fille, Amélys, qui lui souffle depuis les cieux des paroles aussi fantaisistes que clairvoyantes, qui apprennent à vivre. Cet authentique récit de vie, entre larmes et grâces, se fait alors arc-en-ciel pour relier la terre et les cieux. Une immersion en eaux profondes, entrecoupée de remontées dans la lumière, grâce aux dialogues hors du temps avec Amélys.
Sa légèreté d'enfant et sa sagesse d'ange nous rappellent que l'existence est un jeu fait pour rire et aimer, quoi qu'il advienne. Un enseignement, non pas théorique, mais vécu corps et âme, montrant qu'il est possible de passer du deuil à la félicité, écrit par une femme qui ose ouvrir en elle-même de grandes brèches, pour les offrir aux lecteurs, comme autant de fenêtres sur des mondes nouveaux. L'autrice Emma Mira s'est toujours sentie reliée à des dimensions intangibles.
Cela lui a notamment donné des dons pour le soin et la lecture des âmes, dont elle se sert dans son métier d'ostéopathe. En outre, cette ouverture aux mondes spirituels lui permit d'assister aux mystères de l'incarnation de ses enfants avant même leur conception. Lorsque sa fille meurt, l'initiation s'intensifie, l'invitant à transmuter son amour afin d'accompagner cet envol dans la joie.