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La collaboration interorganisationnelle - Conditions, retombées et perspectives en contexte public

  • Presses de l'Université du Québec

  • Paru le : 22/09/2021
Cet ouvrage se consacre à des expériences de collaboration interorganisationnelle dans les administrations publiques québécoise et fédérale canadienne.... > Lire la suite
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Cet ouvrage se consacre à des expériences de collaboration interorganisationnelle dans les administrations publiques québécoise et fédérale canadienne. Au nom de la diversité, il explore les efforts déployés par les organismes publics et leurs partenaires pour répondre à des enjeux aussi complexes qu'importants?: la lutte anticorruption, la mutualisation des données géomatiques, la défense de l'intégrité des programmes publics, la cohérence des politiques publiques en équité en matière d'emploi, la réussite scolaire, la lutte contre les infections transmises sexuellement et par le sang, la protection de l'enfance et de la jeunesse, la prévention de l'adhésion aux gangs de rue, l'organisation de trajectoires de soins de santé et de services sociaux, le partage des infrastructures municipales et scolaires, l'élaboration de politiques régionales de développement social, l'occupation transitoire de bâtiments urbains vacants et la recherche d'emploi. En offrant une multiplicité d'approches qui rendent compte de la variété des contextes et des formes que peut prendre la collaboration interorganisationnelle dans les administrations contemporaines, cet ouvrage collectif jette un éclairage nouveau sur les conditions de réussite des projets entrepris et sur les retombées qui en découlent.
Grâce aux perspectives de réflexion qu'il permet d'entrevoir, il intéressera aussi bien les chercheurs et les étudiants que les gestionnaires, les analystes et les autres praticiens du domaine de l'administration publique.

Fiche technique

  • Caractéristiques du format ePub
    • Pages : 336
    • Taille : 8 489 Ko
    • Protection num. : Digital Watermarking

À propos des auteurs

Michèle Charbonneau détient un doctorat en administration des affaires de HEC Montréal. Professeure à l'ENAP, elle s'intéresse aux modes de pensée de la gestion publique et aux récits de vie des gestionnaires publics. André Bazinet détient un doctorat en administration publique de l'École nationale d'administration publique (ENAP), obtenu après une carrière dans la fonction publique québécoise, dont 27 ans comme gestionnaire dans des organismes centraux.
Il est actuellement chercheur associé au Centre de recherche sur la gouvernance (CERGO) et se consacre aux questions de collaboration interorganisationnelle et de coordination. Christian Boudreau, titulaire d'un doctorat en management de l'Université Laval, est l'auteur de plusieurs articles et études sur la gestion de projets multipartenaires et sur l'intégration des services publics dans un contexte numérique. Gérard Divay, professeur associé à l'ÉNAP, a alterné carrière universitaire et carrière de gestionnaire.
Comme gestionnaire, il a occupé divers postes de direction au sein des administrations provinciale, régionale, municipale et universitaire. Il a été de 1972 à 1982 professeur-chercheur à l'INRS urbanisation et de 2005 à 2018 professeur régulier à l'ÉNAP. Il s'intéresse particulièrement au management local, à la mesure des performances organisationnelle et collective, à la mobilisation des acteurs locaux et la gouvernance locale, à la contribution des gestionnaires locaux à l'évolution des pratiques et de la pensée administratives. Détenteur d'un M.
B. A. et d'un doctorat en administration (Écoles des HEC, Montréal), César Garzon est professeur régulier à l'École nationale d'administration publique, où il enseigne le Management des organisations publiques et la Gestion des marchés publics. Les intérêts de recherches du professeur Garzon  concernent la gestion de la performance dans la passation des marchés publics, la gestion des risques de corruption et collusion dans les marchés publics ainsi que l'analyse des politiques publiques anticorruption.  Actuellement, il est le directeur du groupe d'étude sur la gouvernance et la passation des marchés publics. Martin Goyette est professeur titulaire à l'École nationale d'administration publique (ENAP), titulaire du volet Santé & Bien-être de la Chaire réseau jeunesse (CRJ-SBE).
Il dirige actuellement l'Étude longitudinale sur le devenir des jeunes placés au Québec et en France (EDJeP) et il est co-responsable de l'implantation d'un nouveau modèle d'organisation de services en santé mentale jeunesse (Aire ouverte) au CISSS de Laval. De surcroît, ses travaux portent notamment sur la scolarisation des jeunes placés, la participation des jeunes dans l'organisation et la dispensation des services ainsi que l'analyse des formes d'interventions publiques, l'analyse des réseaux sociaux et l'action intersectorielle jeunesse.
Sur le plan international, Martin Goyette participe activement aux activités de l'INTRAC (International Research Network on Transitions to Adulthood from Care), un réseau de chercheur sur le devenir des jeunes placés. Michel Boisclair a travaillé plusieurs années à l'ENAP à titre de chargé de projet. Il détenait une maîtrise en administration publique.  Il était également doctorant en administration de l'éducation à l'Université de Sherbrooke.  Il agissait à titre de chargé de cours pour l'Université de Montréal et l'Université du Québec à Montréal.  Ses intérêts de recherche portaient sur la formation et les différentes formes de collaboration et partenariat.  Il avait d'ailleurs publié deux livres sur ces sujets et rédigé un chapitre pour un troisième livre. Lara Maillet, PhD, est professeure adjointe à l'ENAP en gestion des services de santé et services sociaux.
Dre Maillet détient une expertise reconnue dans l'application des systèmes adaptatifs complexes (CAS : complex adaptive systems) aux organisations de santé et l'utilisation de méthodes mixtes. Sa programmation de recherche porte sur l'adaptation des organisations, leur gouvernance et l'implantation de stratégies innovantes, dont la gestion par trajectoires de soins et services (GTSS) pour améliorer l'accessibilité aux services de 1re ligne pour les personnes vulnérables.
Elle dirige plusieurs projets sur les thèmes des innovations de gouvernance et des actions intersectorielles. Détenteur d'un doctorat (Ph. D.) en science politique de l'Université Carleton (Ottawa, Canada), Jean-François Savard est professeur agrégé à l'ENAP (École nationale d'administration publique, Université du Québec) depuis 2006, où il y enseigne les enjeux relatifs aux relations entre l'administration publique et les gouvernements autochtones, la conception, la mise en ouvre et l'analyse des politiques publiques.
Ses travaux de recherche portent sur les questions de politiques autochtones, le concept de cohérence des politiques publiques, les politiques des jeux de hasard et les questions liées au fédéralisme et à la gouvernance multiniveaux. Avant de se joindre à l'ENAP, le professeur Savard a travaillé à titre d'analyste principal des politiques à la Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits (DGSPNI) de Santé Canada. Nassera Touati, PhD, est professeure titulaire à l'École Nationale d'Administration publique.
Depuis 1998, Dre Touati s'intéresse à la transformation du système socio-sanitaire, entre autres, au déploiement de réseaux de services intégrés. Ses projets s'efforcent notamment de mieux saisir les processus d'apprentissage, de gouvernance et d'innovation. Outre l'analyse des processus, elle est impliquée dans des projets de recherche évaluative pour apprécier les effets de la transformation du système, en termes d'impacts sur l'expérience de soins et services des usagers.
Durant ces dernières années, elle a aussi développé des projets de recherche qui s'intéressent aux actions intersectorielles, impliquant d'autres secteurs tels que l'éducation, l'employabilité, l'accueil des immigrants. Au-delà des réseaux de services, elle analyse des réseaux d'action collective agissant sur d'autres déterminants de la santé, tels que les environnements. Stéphanie Gagnon est professeure titulaire en management public à l'ENAP.
Elle y enseigne les cours « Gestion du changement » et « Théories des organisations ».  Elle est membre du GEPS (Groupe d'étude sur la pratique de la stratégie) à HEC Montréal.  Ses intérêts de recherche portent sur la collaboration sous différentes formes ainsi que sur l'implantation de la philosophie de police communautaire dans les pratiques.  Elle est également intéressée par la régulation des émotions dans les contextes extrêmes.  Ses travaux ont été publiés dans les revues Leadership ainsi que Evidence and Policy. Isabelle Caron est professeure à l'École d'administration publique de l'Université Dalhousie depuis 2017.
Elle détient un doctorat en administration publique de l'Université d'Ottawa. Ses travaux de recherche portent sur les éléments qui structurent l'élaboration des politiques publiques au sein des organisations publiques tels que l'intersectionnalité dans les politiques publiques, le contrôle, la reddition de compte et l'intégrité publique ainsi que la gestion des employés et de la diversité. Entre 1999 et 2012, elle a travaillé au Bureau du Conseil privé et au Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, ainsi qu'à Santé Canada et à Patrimoine canadien à titre d'analyste principale des politiques. Nicholas Bautista-Beauchesne est un candidat au doctorat et chargé de cours à l'École nationale d'administration publique (ENAP).
Présentement, il effectue la rédaction de sa thèse qui porte sur l'autonomie bureaucratique des agences qui ont le mandat de prévenir, de près ou de loin, la corruption et ses formes connexes au Québec. Par ailleurs, en tant qu'assistant de recherche et membre du Groupe d'Étude sur la Gouvernance et la Passation des Marchés Publics (GEGPMP), il a participé à plusieurs projets de recherche qualitatifs et quantitatifs interdisciplinaires en administration publique. Geneviève Champagne est détentrice d'une maîtrise en santé publique.
Elle a travaillé sur les questions d'organisation et d'évaluation des systèmes de santé et services sociaux. Elle s'intéresse au soutien aux innovations en santé et à l'accès aux soins primaires pour les personnes en situation de vulnérabilité. Élodie Marion, Ph. D, est professeure à l'Université de Montréal au département de psychopédagogie et d'andragogie de la Faculté des sciences de l'Éducation et chercheuse à l'Institut-universitaire jeunes en difficulté.
Enseignante de formation et détentrice d'un doctorat de l'École nationale d'administration publique, ses travaux de recherche visent à soutenir la réussite scolaire et éducative des jeunes dits en difficulté d'adaptation et des jeunes vivant des problématiques multiples et complexes, notamment ceux pris en charge sous la protection de la jeunesse. Pour ce faire, elle mise notamment sur des travaux portant sur les processus de développement de la collaboration intersectorielle autour des enjeux de réussite scolaire et éducative ainsi que sur l'analyse de la participation des personnes concernées, notamment des jeunes et de leur famille, dans diverses instances collaboratives. Georges-Charles Thiebaut, PhD, détient un doctorat en santé publique spécialisé en gestion des services de santé et en évaluation des interventions.
Il est l'adjoint scientifique de l'Institut universitaire de première ligne en santé et services sociaux (IUPLSSS) du CIUSSS de l'Estrie-CHUS, actuellement en prêt de service à l'Institut nationale d'excellence en santé et services sociaux (INESSS). Il est spécialiste en évaluation de la performance et dans la conception d'outils d'aide à la prise de décision. Il travaille sur l'analyse et la mesure des trajectoires de soins et services depuis quatre ans et accompagne plusieurs directions cliniques dans l'amélioration continue de celles-ci. Titulaire d'un baccalauréat en gestion de l'Université Concordia et d'une Maîtrise en Gestion de l'innovation sociale de HEC Montréal, Anaïs Scussel s'intéresse à la gestion de projets dans le domaine de l'économie sociale et solidaire.
Elle a travaillé pendant 2 ans comme chargée de projet dans une association du secteur de l'habillement au Canada et évolue actuellement comme cheffe de projets dans un grand groupe de l'économie sociale et solidaire en France. Durant sa Maîtrise, comme stagiaire-consultante, elle a également accompagné le développement d'un projet d'entrepreneuriat social et d'économie circulaire dans le domaine culturel. Lynda Rey est professeure en évaluation de programmes à l'École Nationale d'administration publique à Montréal.
Son expertise combine l'utilisation des connaissances scientifiques et de diverses approches évaluatives pour améliorer les pratiques de gestion et les politiques publiques. Ses domaines de recherche sont l'innovation sociale, les partenariats multi-acteurs, les stratégies de renforcement des capacités en évaluation. Ces dernières années, elle a réalisé plusieurs mandats en planification stratégique et évaluation auprès d'organisations publiques, philanthropiques et communautaires à l'international.
Elle a également occupé le poste de directrice de l'évaluation à la fondation One Drop pour un accès durable à l'eau potable en Amérique centrale, Afrique et Inde. Docteure en santé publique, elle détient un diplôme de troisième cycle en Analyse et évaluation des interventions en santé de l'Université de Montréal. Elle est dotée d'un master en politiques de développement et action humanitaire de la Sorbonne et est également diplômée de l'Institut d'Études Politiques d'Aix-en-Provence en France.  
André Bazinet et Christian Boudreau - La collaboration interorganisationnelle - Conditions, retombées et perspectives en contexte public.
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