« Maman. Un mot gâteau. Un mot sucré. Une crème nourricière. Je ne le prononce plus. » Parce qu'elle n'est plus. Rongée par une vie qu'elle a sacrifiée,... > Lire la suite
« Maman. Un mot gâteau. Un mot sucré. Une crème nourricière. Je ne le prononce plus. » Parce qu'elle n'est plus. Rongée par une vie qu'elle a sacrifiée, une existence qu'elle n'a pas su vivre pour elle. « Je suis passée à côté de ma mère. » Une dernière chance en décalé. Sa fille raconte, à travers ses yeux de fille, mais aussi à travers ses yeux à elle, les yeux de sa mère. Elle raconte ce décalage qui la définit.