"La mort d'Ivan Illitch est une des ouvres de la littérature russe qui a le plus frappé les lecteurs français".
Romain Rolland
"Publié pour... > Lire la suite
"La mort d'Ivan Illitch est une des ouvres de la littérature russe qui a le plus frappé les lecteurs français".
Romain Rolland
"Publié pour la première fois en 1886, La mort d'Ivan Illitch s'est d'emblée placée parmi les textes majeurs de la littérature. D'emblée aussi tous les lecteurs ont souligné que ce récit prenait, par sa simplicité, sa nudité presque, les aspects d'une parabole. C'est une histoire simple, universelle, d'une grande émotion, mais sobre.
Le premier abord est presque agaçant. On s'attendrait à plus d'émotion. Puis on avance. On est toujours agacé, mais à la réflexion de quoi ? De la vaine agitation, des intrigues et de veuleries que Tolstoï nous rend palpables. Puis l'intimité s'installe. Et le récit monte, avec toute sa force, sa simplicité, sa douleur... Sa grandeur aussi.
Un récit qui, à l'instar des bourgeois nivernais rencontrés par Romain Rolland "qui jusque-là ne s'intéressaient guère à l'art et n'avaient rien lu" suscite mille émotions."