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Au milieu des années 2010, dans une petite ville du Sud en bord de mer, Garance, la fille sans histoire d'une professeure de danse, regarde le monde sur son écran. Et le monde la regarde. A part se prendre en photo, il n'y a rien à faire ici. Jusqu'au jour où elle attire l'attention d'un cercle très fermé d'adolescents plus âgés. Pour l'intégrer elle est prête à tous les sacrifices. En échange, ils l'initient au secret, à l'art de l'ennui, à la férocité de la meute. Quelques mois plus tard, Garance disparaît. Le premier roman de Francesca Serra est une fresque héroïque et charnelle dédiée à la génération des milléniaux. Un livre qui nous capture en terrain familier puis nous emporte ailleurs. Là où les grands archaïques ne font que semblant de dormir.
Année scolaire 2015-2016, une station balnéaire dans les sud-est de la France. Un concours de mannequins annonce une étape de sa tournée régionale dans cette ville qui ne s'anime d'ordinaire qu'à l'arrivée des touristes en été. Garance Sollogoub, la fille d'une professeure de danse, est d'ores et déjà donnée favorite. Elle attire l'attention d'une bande d'adolescents plus âgés, les plus populaires, ceux avec lesquels elle a toujours rêvé de traîner. Pour se faire accepter d'eux, elle va devoir consentir à quelques sacrifices. En échange, ils vont lui offrir trois choses : l'ennui, le sentiment d'appartenance et la férocité de la meute. Quelques mois plus tard, Garance disparaît. Elle a menti pour les ailes est un premier roman né de deux interrogations générationnelles : quelle influence le monde numérique a-t-il sur l'évolution du langage, et comment la société de l'hyperconnexion entretient-elle une mélancolie du présent ?