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A l'heure de la vitesse généralisée, la marche regagne une à une ses vertus : elle tonifie le corps, libère l'esprit et tend à préserver la planète. La géopoétique conseille de vivre autour du lieu, en cercles concentriques et en prenant le temps. La marche est son vecteur favori. Elle dévoile petit à petit le monde proche et intensifie notre lien avec la terre et le ciel. Elle est une activité du corps, mais aussi un approfondissement de la pensée. L'Inde ancienne la hisse au rang de méditation ambulatoire. Poètes, philosophes et géographes s'en sont ici inspirés, dans des récits d'expérience et des essais qui vont sur la trace de promeneurs sensibles au paysage : Bashô et Kenneth White ; Custine, Chateaubriand et Senancour ; Jean-Jacques Rousseau et Robert Walser ; Wordsworth et Thoreau ; Arthur Rimbaud et Adré Dhôtel. " Petit à petit, pas à pas, après la perception détaillée, on entre dans une sensation plus abstraite du paysage, dans un état de contemplation cosmique. L'identité personnelle se perd, disparaît. La marche est un processus d'ouverture " (Kenneth White)