Mathilde Monge, maître de conférences à l'université Toulouse 2, a étudié les minorités anabaptistes avant de s'intéresser à la coexistence religieuse par l'analyse croisée de plusieurs diasporas. Elle a notamment publié Des communautés mouvantes (Droz, 2015) et Des religions dans la ville (PUR, 2010). Natalia Muchnik, maître de conférences à l'EHESS, a travaillé sur la diaspora séfarade, l'Inquisition et les marranes, avant de mener une étude comparée de plusieurs diasporas modernes.
Elle a notamment publié De paroles et de gestes (EHESS, 2014) et La foi persécutée (Puf, à paraître).