Elles se sont tant aimées : Missy, marquise de Morny, qui se fait appeler oncle Max et scandalise la Belle Époque par ses amours féminines et ses tenues... > Lire la suite
Plus d'un million de livres disponibles
Retrait gratuit en magasin
Livraison à domicile sous 24h/48h* * si livre disponible en stock, livraison payante
23,00 €
Expédié sous 3 à 6 jours
ou
À retirer gratuitement en magasin U entre le 17 mai et le 22 mai
Elles se sont tant aimées : Missy, marquise de Morny, qui se fait appeler oncle Max et scandalise la Belle Époque par ses amours féminines et ses tenues d'homme ; et Colette, son " enfant insupportable ", résolue à vivre au grand jour une liaison qui défraie la chronique. Les succès de scène, les longues tournées en province, les moments de découragement, l'inimitié grandissante avec Willy - le mari de Colette -, les scandales, les difficultés d'argent : pendant six ans, leur amour leur permet de tout vivre, tout affronter, tout partager. De cette intimité, de cet abandon si singulier dans la vie de Colette, leur extraordinaire correspondance, publiée ici pour la première fois, se fait l'écho, montrant une Colette inquiète et rieuse, vulnérable et tendre, corps et âme attachée à celle dont elle disait : " Quand on a rencontré une amie comme la mienne, on a atteint le bout de sa vie, le bout d'une impasse bienheureuse et fermée, où l'on se couche posée jusqu'à la mort. "
Elles se sont tant aimées : Missy, marquise de Morny, qui se fait appeler oncle Max et scandalise la Belle Epoque par ses amours féminines et ses tenues d'homme ; et Colette, son "enfant insupportable" , résolue à vivre au grand jour une liaison qui défraie la chronique. Les succès à la scène, les longues tournées en province, les moments de découragement, l'inimitié grandissante avec Willy - le mari de Colette-, les scandales, les difficultés d'argent : pendant six ans, leur amour leur permet de tout vivre, tout affronter, tout partager. De cette intimité, de cet abandon si singulier dans la vie de Colette, leur extraordinaire correspondance, publiée ici pour la première fois, se fait l'écho, montrant une Colette inquiète et rieuse, vulnérable et tendre, corps et âme attachée à celle dont elle disait : "Quand on a rencontré une amie comme la mienne, on a atteint le bout de sa vie, le bout d'une impasse bienheureuse et fermée, où l'on se couche posée jusqu'à la mort".