Menu
Mon panier

En cours de chargement...

Recherche avancée

La tradition des romans de femmes - XVIIIe-XIXe siècles (Relié)

  • Honoré Champion

  • Paru le : 01/02/2012
Les noms de Mmes de Charrière, Cottin, de Duras, Gay, de Genlis, de Graffigny, Guizot, de Krüdener, de Montolieu, Riccoboni, de Souza, de Tencin (donnés... > Lire la suite
  • Plus d'un million de livres disponibles
  • Retrait gratuit en magasin
  • Livraison à domicile sous 24h/48h*
    * si livre disponible en stock, livraison payante
91,00 €
Expédié sous 3 jours
  • ou
    À retirer gratuitement en magasin U à partir du 17 mai
Les noms de Mmes de Charrière, Cottin, de Duras, Gay, de Genlis, de Graffigny, Guizot, de Krüdener, de Montolieu, Riccoboni, de Souza, de Tencin (donnés ici dans l’ordre impersonnel de l’alphabet), romancières réputées en leur temps, ont difficilement passé les années : dès le milieu du XIXe siècle, ils n’ont plus été retenus que des érudits qu’intéressaient l’histoire de la littérature ou l’histoire du roman, l’histoire des femmes aussi.
Quant à la notoriété qui a toujours entouré les noms de Mme de Staël et de George Sand, elle s’est souvent plus occupée d’aspects de leur biographie, construits et chéris comme des stéréotypes, que de leur œuvre de romancières. Le fait est, pourtant, qu’au XVIIIe siècle et dans la première moitié du XIXe, les romans écrits et publiés par des femmes occupent la scène littéraire d’une manière qui les met suffisamment en valeur pour que les lecteurs reconnaissent en eux une tradition, celle des « romans de femmes ».
L’unité de l’appellation collective suggère la présence dans ces textes d’un maniement spécifique du langage romanesque, avec des traits récurrents (modèles d’intrigues, constantes thématiques, normes du discours moral). Par jeu de reprises et de variations, cet ensemble d’éléments créerait des conventions et ainsi déterminerait un genre (notion que le mot de tradition revient à dire par euphémisme).
C’est à la rencontre d’un tel contenu objectivable que le présent ouvrage veut se risquer : existe-t-il ? Le discours critique doit-il valider l’idée qu’il y eut, au XVIIIe et au XIXe siècles, une tradition des romans de femmes ?

Fiche technique

  • Date de parution : 01/02/2012
  • Editeur : Honoré Champion
  • Collection : Littérature et genre
  • ISBN : 978-2-7453-2287-6
  • EAN : 9782745322876
  • Format : Grand Format
  • Présentation : Relié
  • Nb. de pages : 453 pages
  • Poids : 0.74 Kg
  • Dimensions : 15,5 cm × 23,5 cm × 2,5 cm

À propos des auteurs

Catherine Mariette-Clot est maître de conférences en littérature française à l’Université de Grenoble, membre du « Centre d’études stendhaliennes et romantiques » de l’équipe E.A. 3748 - Traverses 19-21. Spécialiste de littérature française du XIXe siècle, elle a publié de nombreux travaux sur Stendhal et George Sand. Damien Zanone est professeur à l’Université catholique de Louvain (Louvain-la-Neuve).
Il travaille sur la littérature romanesque et autobiographique du XIXe siècle. On lui doit en particulier un ouvrage de référence sur le genre des Mémoires dans cette période (Écrire son temps, Presses universitaires de Lyon, 2006) ainsi que plusieurs éditions critiques de George Sand.
Catherine Mariette-Clot et Damien Zanone - La tradition des romans de femmes - XVIIIe-XIXe siècles.
La tradition des romans de femmes. XVIIIe-XIXe siècles
91,00 €
Haut de page