" Les ibis dansent les soirs A l'ombre des âges Que nous parcourons Tendrement à la hauteur D'un parcours Comme si l'eau inquiétait l'heure ombrée, Mordorée des rayons d'océan alangui ; A tes regards, je tais ce silence Comme une esquisse de printemps Sais-tu, sais-tu nos chavirements des temps Où se pâme les coquillages, où chantent nos voix. "