Dans son écrit de 1972, « ?L'étourdit? », Lacan ouvre une immense problématique, celle de « ?la stricte équivalence entre structure et topologie?... > Lire la suite
Dans son écrit de 1972, « ?L'étourdit? », Lacan ouvre une immense problématique, celle de « ?la stricte équivalence entre structure et topologie? ». Puis il se risque à une présentation de la topologie qu'il qualifie d'imaginaire, voire d'abus imaginaire. Nous sommes donc aujourd'hui - dans un temps qui est celui de l'après « ?étourdit? » - confrontés à l'abus de figures topologiques réduites à des dessins. Ceux-ci ratent tant la conceptualité et la dynamique topologique que leurs enjeux psychanalytiques. C'est pourquoi je reprends cette problématique de l'équivalence entre structure et topologie, ainsi que l'étude « ?L'étourdit? », pour en extraire quelques éléments de ce que j'appelle « ?topologie subjective? ». Topologie subjective que j'attache à la singularité de chaque psychanalyste et que je différencie des éléments de topologie générale. En effet, la topologie du psychanalyste ne relève que d'espaces singuliers, ce que j'appelle topos.