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Journal de galère

  • Éditions Actes Sud

  • Paru le : 14/09/2016
Bien avant la consécration de son travail par le prix Nobel de littérature en 2002, Imre Kertész a noté - sur une période de trente ans (1961 à... > Lire la suite
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Bien avant la consécration de son travail par le prix Nobel de littérature en 2002, Imre Kertész a noté - sur une période de trente ans (1961 à 1991) - ses observations, ses pensées philosophiques et les aphorismes qui l'accompagnaient lors de l'écriture de ses premières oeuvres. A travers un dialogue avec Nietzsche, Freud, Camus, Adorno, Musil, Beckett, Kafka, et bien d'autres encore, Imre Kertész tente, de façon brillante, de penser l'holocauste, la modernité, la liberté et le totalitarisme.

Fiche technique

  • Caractéristiques du format PDF
    • Pages : 278
    • Taille : 1 700 Ko
    • Protection num. : Digital Watermarking

À propos de l'auteur

Biographie d'Imre Kertész

Imre Kertész est né dans une famille juive de Budapest le 9 novembre 1929. Il est décédé dans la même ville le 31 mars 2016. Déporté à l'âge de quinze ans à Auschwitz, il est ensuite transféré à Buchenwald puis au camp de travail de Zeitz. Il est libéré en 1945. Après avoir obtenu son baccalauréat en 1948, il commence à travailler en tant que journaliste pour le quotidien Világosság, puis il est licencié en 1951 quand le journal est proclamé organe du parti communiste.
Après la barbarie nazie, il affronte le communisme totalitaire. C'est à partir de 1961 qu'il travaille au roman Être sans destin (Actes Sud, 1998), dont l'écriture lui prendra dix ans. L'ouvrage finira par paraître dans une petite maison d'édition en 1975. Son expérience des camps de concentration le marque profondément et imprègne toute son ouvre. En 1988 paraît Le Refus (Actes Sud, 2001), et en 1990 Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas (Actes Sud, 1995).
Ecrivain de l'ombre pendant quarante ans, il vit avec sa femme dans un studio minuscule, en marge de la société hongroise, et gagne sa vie en rédigeant des comédies musicales et des pièces de boulevard. Après la parution de son premier roman, il effectue également des traductions (il a notamment traduit Nietzsche, Freud, Hofmannsthal, Canetti et Wittgenstein). Après la chute du Mur, il confie la gestion des droits de ses ouvres à un éditeur allemand.
Dans les années 90, par l'intermédiaire de la version allemande de son ouvre, à l'élaboration de laquelle il participe avec minutie, il acquiert petit à petit une grande renommée, d'abord en Allemagne, puis dans le monde entier. En 2002, il reçoit le prix Nobel de littérature. La maladie de Parkinson dont il est atteint depuis 2000, constitue un nouveau défi tant physique que psychique. Cette expérience de la souffrance détermine la suite de son ouvre, la transformant en affrontement radical.
C'est ainsi qu'il publie Sauvegarde, journal 2001-2003 (Actes Sud, 2012) première partie de son dernier opus L'Ultime Auberge (Actes Sud, 2015), qui rassemble l'ensemble de ses journaux de 2001 à 2009.
Imre Kertész - Journal de galère.
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