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Le Cid (Broché)

  • Larousse

  • Paru le : 22/08/2012
En 1637, Corneille se lance dans un genre nouveau, encore mal défini, tragédie ou tragi-comédie. Peu importent l'étiquette et les règles, puisque... > Lire la suite
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En 1637, Corneille se lance dans un genre nouveau, encore mal défini, tragédie ou tragi-comédie. Peu importent l'étiquette et les règles, puisque Le Cid est une ouvre sur la liberté. Rodrigue doit venger son père en tuant le père de Chimène, la femme qu'il aime. C'est l'héroïsme d'une jeunesse sacrifiée qui doit payer le prix des erreurs de ses aînés, essayer, malgré tout, de vivre, de combattre et d'aimer.
La pièce souligne les défis insensés - ceux que l'on voudra toujours relever.

Fiche technique

  • Date de parution : 22/08/2012
  • Editeur : Larousse
  • Collection : Petits Classiques
  • ISBN : 978-2-03-586597-7
  • EAN : 9782035865977
  • Format : Poche
  • Présentation : Broché
  • Nb. de pages : 188 pages
  • Poids : 0.18 Kg
  • Dimensions : 12,5 cm × 18,0 cm × 1,0 cm

À propos de l'auteur

Pierre Corneille

Biographie de Pierre Corneille

1606 - 1684. Avocat, il débute au théâtre par des comédies (Mélite, 1629 ; la Galerie du Palais, 1632 - 1633 ; la Place Royale, 1633 - 1634 ; l'Illusion comique, 1635 - 1636) et devient célèbre avec une tragi-comédie, le Cid (1637), qui provoque une querelle littéraire. Sensible aux critiques, il se consacre alors à la tragédie « régulière » (Horace, 1640 ; Cinna, 1642 ; Polyeucte, 1643), sans abandonner la comédie à la mode espagnole (le Menteur, 1643 ; Don Sanche d'Aragon, 1650) et les divertissements de cour (Andromède, 1650).
Évoluant vers une utilisation systématique du pathétique et des intrigues plus complexes (la Mort de Pompée, 1643 ; Rodogune, 1644 - 1645 ; Nicomède, 1651), il connaît avec Pertharite (1651) un échec qui l'éloigne du théâtre pendant sept ans. Il traduit en vers l'Imitation de Jésus-Christ (1651 - 1656) et s'occupe de l'édition de son théâtre, dont il définit les principes dans les Examens de ses pièces et trois Discours (1660).
Revenu à la scène (Oedipe, 1659 ; Sertorius, 1662 ; Sophonisbe, 1663 ; Attila, 1667), il voit le public lui préférer Racine (Tite et Bérénice, 1670). Corneille peint des héros « généreux » pour qui l'honneur et la gloire méritent tous les sacrifices. Le drame cornélien atteint le « sublime », mais refuse le « tragique », puisqu'il est le fait d'êtres libres qui décident toujours de leur destin. (Académie française)
Pierre Corneille - Le Cid.
3,50 €
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