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L'or du temps Tome 1 (Relié)

Première partie

  • Daniel Maghen

  • Paru le : 16/09/2021
Ils cherchent l'or... Ils vont trouver un secret vieux comme le monde... Le rêve de toute l'humanité !
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Ils cherchent l'or... Ils vont trouver un secret vieux comme le monde... Le rêve de toute l'humanité !
  • Date de parution : 16/09/2021
  • Editeur : Daniel Maghen
  • ISBN : 978-2-35674-105-9
  • EAN : 9782356741059
  • Format : Grand Format
  • Présentation : Relié
  • Nb. de pages : 68 pages
  • Poids : 0.77 Kg
  • Dimensions : 24,3 cm × 33,0 cm × 1,4 cm
1890. Hugo de Reuhman, historien et égyptologue distingué, achète à un libraire parisien un ensemble de lettres écrites par Bernardino Drovetti, ambassadeur de France au Caire à l'époque napoléonienne. Il y décrit notamment la découverte d'un tombeau phénicien recelant un étrange sarcophage. Au rythme des feuilletons du début du siècle, Rodolphe et Oriol nous emmènent dans le Paris fantastique des année 1900 sur les traces du sarcophage disparu.
Le sarcophage contiendrait la dépouille d'un grand prêtre de Moloch, sorcier et grand initié qui aurait, dit-on, découvert le secret de l'immortalité. De Reuhman mène des recherches concernant cette divinité sulfureuse, ses rites et ses prêtres. Il s'interroge également sur ce qu'il est advenu du fameux sarcophage que Drovetti aurait vendu au Louvre quelque cinquante ans auparavant mais aujourd'hui introuvable.
Il est donc amené à s'intéresser également à la vie de Drovetti. Celui-ci qui a amassé un trésor archéologique inouï a tout vendu en 1856 à différents musées dont celui de Turin et le Louvre. Hugo de Reuhman et son jeune ami Théo Lemoine se lancent sur la piste du sarcophage perdu. Celle-ci passera par les obscurs salons des spirites, les sous-sols et les souterrains du Louvre, les bals populaires et les ruelles mal famées de "La Butte", jusqu'à un manoir isolé gardé par des automates, en passant par une fête masquée et orgiaque donnée dans la forêt de Compiègne...
Né il y a déjà bien longtemps, le jeune Rodolphe manifeste très tôt une détestation farouche à l'encontre des sports collectifs, tout particulièrement ceux organisés autour de la poursuite et du tapotage de baballes. Juste contrepoint à cette haine, il développe un amour immodéré pour ce qui est livres et papier, romans et bandes dessinées, lecture et rêverie. Abonné aux merveilleux magazines qu'étaient alors Tintin et Spirou, il dévore également les " Bibliothèques Vertes ", accusant un faible pour les titres signés Walter Scott, Alexandre Dumas, Paul Féval, R.
L. Stevenson, Charles Dickens, Jack London et l'excellent James Oliver Curwood... Amour du livre qui l'amènera quelques années plus tard à officier en tant que libraire (sous les prestigieuses enseignes de SATAN and CO et de TEMPS FUTURS) puis à exercer les activité de journaliste et critique pour la presse BD : A Suivre, Métal Hurlant, Charlie, Pilote. Il croise sur cette période quelques figures bienveillantes qui le confortent dans sa capacité à inventer des histoires, l'orientent vers le domaine spécifique de la bande dessinée, et enfin le présentent à des responsables éditoriaux susceptibles d'accueillir ses travaux : Jean-Paul Mougin, Guy Vidal, Claude Moliterni.
Les noms de ces figures bienveillantes, de ces " anges tutélaires " ? Jacques Lob, Alexis, Philippe Druillet, Annie Goetzinger. Mille grâces leur soient encore rendues ! Publications donc dans A Suivre, Métal Hurlant, Pilote, Circus, mais encore dans différents magazines du groupe Bayard (J'aime Lire, Je Bouquine) et également dans Le Journal de Mickey où il va, des années durant, animer le personnage de Mickey.
Entretemps, la librairie a été abandonnée, le travail journalistique le sera bientôt. Quelques nouvelles rencontres d'importance ponctuent cette période : Le Tendre, Loisel, Michel Rouge, André Juillard, Jacques Ferrandez, Al Coutelis. Puis, quelques années plus tard, Léo, Florence Magnin, Marcelé, Griffo... Parallèlement à la bande dessinée, Rodolphe s'est tourné vers l'écriture romanesque. Une petite dizaine de romans - ; dont certains pour adolescents - ; voient le jour.
Et encore une biographie de Robert Louis Stevenson ainsi que différents ouvrages sur la musique et le quotidien des années 50 et 60. Il a, à ce jour, publié plus de deux cents albums, dessinés par les plus grands noms de notre " neuvième art ", dont les grands maîtres que furent Raymond Poïvet et René Follet... Oriol est un auteur espagnol né à Barcelone en 1983. Formé à l'Ecole Joso de Barcelone, il commence sa carrière professionnelle en 2003 dans l'animation.
Il a collaboré avec la société de production Filmax où il a travaillé à la production de Donkey Xote et a également développé des concepts et des décors pour le film Nocturna. Cette expérience dans l'animation l'amène à retourner à l'école Joso pour y enseigner cette matière. En 2010, il est repéré par Zidrou, scénariste belge résidant en Espagne, qui l'associe à un projet d'histoires courtes à paraître aux éditions Dupuis.
La première bande dessinée d'Oriol est donc éditée dans le collectif Joyeuses nouvelles pour petits adultes et grands enfants. En 2012, toujours sur un scénario de Zidrou, il publie La Peau de l'ours (éditions Dargaud) qui nous fait voyager entre l'Italie moderne et les Etats-Unis des années 30, et s'appuie pour cet album sur une solide documentation. Le duo revient en 2015 avec un conte cruel, Les 3 Fruits, puis Natures Mortes (2017), biographie imaginaire d'un peintre barcelonais dont Oriol invente et dessine l'ensemble des oeuvres...
Chaque nouvelle collaboration est le moyen d'explorer de nouvelles pistes graphiques et d'élargir sa palette de couleurs. Pour chaque planche, Oriol réalise un story-board colorisé qu'il rehausse au crayon, puis il finalise son travail en numérique. L'album Natures mortes est l'occasion pour Oriol de faire un séjour à Paris, au cours duquel il s'imprègne des décors et des couleurs de Montmartre, sur les traces de Vidal Balaguer, le personnage central de l'album.
Le dessinateur baigne donc dans les ambiances du Paris de la Belle Epoque quand il reçoit un scénario de Rodolphe intitulé L'Or du temps : " Un beau matin, cette histoire est arrivée sur ma messagerie et je n'ai pas pu la refuser ! C'est incroyable à quel point j'ai eu le sentiment que ce projet avait été fait pour moi. Si je pouvais choisir de vivre un moment précis dans un lieu concret, ce voyage serait celui que vit Théo, notre héros.
Vous souvenez-vous de Minuit à Paris, le film de Woody Allen ? Dans le film, le personnage principal, Owen Wilson, se voit demander quel serait, pour lui, le lieu et l'époque parfaits pour y vivre. Eh bien ma réponse serait, comme lui, le Paris de 1890 ". Pour L'Or du temps, Oriol a, comme à son habitude, commencé par travailler sur les couleurs et les émotions qu'elles transmettent, alternant les scènes lumineuses d'un Paris reconstitué et les ambiances plus sombres des cabarets de Montmartre, des salons spirites et des souterrains du Louvre...
 Rodolphe et  Oriol - L'or du temps Tome 1 : Première partie.
L'or du temps Tome 1 Première partie
Rodolphe, ...
16,00 €
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