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Alix Tome 28

La cité engloutie

  • Casterman

  • Paru le : 27/11/2019
Des légionnaires ont mystérieusement disparu dans les profondes forêts d'Armorique. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour Rome. Si les Celtes, en... > Lire la suite
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Des légionnaires ont mystérieusement disparu dans les profondes forêts d'Armorique. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour Rome. Si les Celtes, en effet, n'ont pas réussi à vaincre par les armes leurs adversaires romains, ils ont choisi de poursuivre la lutte par le biais des croyances. Grande est la puissance de leur religion, de leurs dieux, et surtout de leurs druides, dépositaires d'un savoir très élaboré où la pharmacopée occupe une place centrale.
En dépit des superstitions attachées à la religion des peuples celtes, et aux pouvoirs magiques que l'on prête aux druides, Alix part sur les traces des soldats disparus. Mais, ce faisant, c'est aussi à sa propre histoire que le jeune homme est bientôt confronté. Quelles seront les réactions d'un fils de Gaule adopté par la Louve romaine face à ce qui ressemble à un complot des ennemis de César ? Comment mener à bien pareille mission en terre d'Armorique lorsqu'on est, comme Alix, le produit complexe de deux cultures aussi dissemblables? Pour Alix commence une aventure difficile, éprouvante.
Dans une ambiance baignée de mystère, c'est bientôt le choc frontal entre les fils de la « civilisation » et ceux de la « forêt ». La tension monte, jusqu'à l'affrontement final au milieu des éléments déchaînés.

Fiche technique

  • Date de parution : 27/11/2019
  • Editeur : Casterman
  • Collection : Alix
  • ISBN : 978-2-203-19748-0
  • EAN : 9782203197480
  • Format : Epub fixed layout
  • Nb. de pages : 50 pages
  • Caractéristiques du format Epub fixed layout
    • Pages : 50
    • Taille : 65 659 Ko
    • Protection num. : Digital Watermarking

À propos des auteurs

Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire.
Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique.
Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr.
La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou.
Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq.
Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont la première aventure, Le secret du Calumet fut directement publiée en album.
Vers la même époque, il signe encore une autre série humoristique dont la première histoire s'intitule Le Hibou gris et qui est prépubliée simultanément dans deux quotidiens belges. Reprise l'année suivante dans un hebdomadaire (Story), il lui donne une suite, Le Sept de Trèfle qui peut être considéré comme un premier brouillon de ce que sera La Grande Menace. Toujours dans ce même intervalle de temps, paraît La Cité fantastique, une bande dessinée ayant pour thème la guerre.
Dès 1946, Jacques Martin conçoit un projet de journal pour jeunes qu'il baptise Jaky. Malheureusement le numéro un de l'hebdomadaire Tintin est sur le point de sortir, réunissant une impressionnante brochette de grands auteurs. Jaky échoue au fond d'un tiroir. Tout en poursuivant ses collaborations à Bravo et à Story, Jacques Martin pose sa candidature au Journal de Tintin. C'est en 1948, qu'il crée le personnage d'Alix, le proposant aussitôt à Raymond Leblanc, futur directeur du Journal de Tintin.
Alix l'intrépide paraît en feuilleton dans le journal des 7 à 77 ans, à partir du 16 septembre 1948. En 1950, J Né à Bruxelles, Patrick Weber vit entre Bruxelles, Paris et Rome. Historien de l'art de formation, il a longtemps été journaliste avant de se tourner vers l'écriture de romans (nombreux polars historiques publiés au Masque) et de scénarios pour la bande dessinée et la télévision. Ferry est né à Beveren Waas en 1944 (Belgique).
En 1974, il entre au magazine Tintin, ou il y illustre un ensemble de courts récits basés sur des histoires vraies, signées Yves Duval, regroupés en 1984 par les éditions du Lombard dans un recueil intitulé Les Grandes Catastrophes. En 1977, sur un scénario de Jean-Luc Vernal, il crée Ian Kalédine aux éditions du Lombard entre 1983 et 1992. À partir de 1993, Ferry s'attache aux Chroniques de Panchrysia.
Jacques Martin et Patrick Weber - Alix Tome 28 : La cité engloutie.
Alix Tome 28 La cité engloutie
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